Les Frères jumeaux Igor et Grichka Bogdanov présentant l'émission "Tempx X" dans leur costume argenté, à l'époque où certains estimaient leur allure androgyne, avant qu'ils ne modifient leur apparence de manière radicale.
Une émission légendaire
Personne n’ignore la disparition des Frères Bogdanov, le 28 janvier 2021 pour Grichka, le 3 janvier 2022 pour Igor. Ils avaient créé à la fin des années 1970 avec la collaboration de Jean-Yves Casgha, rédacteur en chef et chroniqueur, une célèbre émission télévisée consacrée à la science-fiction et à la vulgarisation scientifique sur la Chaîne TF1, « Temps X », après avoir présenté le genre dans une chronique grâce au présentateur du journal télévisé Yves Mourousi, à la suite d'un premier passage dans l'émission de divertissement pour la jeunesse "Un sur Cinq" de Patrice Laffont. Les deux jumeaux contribuèrent à rendre populaire le genre en France à la suite d’Henry-Georges Gallet qui avait importé les auteurs américains dans l’après-guerre avec sa collection « Le rayon fantastique », Jacques Bergier qui avait fait connaître H.P. Lovecraft dans l’Hexagone, Gérard Klein qui avait créé la collection « Ailleurs et Demain » ou encore Jacques Goimard et sa « Grande Anthologie de la Science-Fiction » et Jacques Sadoul qui a aussi fait beaucoup dans le domaine et auquel un hommage a été consacré ici suite à sa disparition en janvier 2013. L’émission dura d’avril 1979 à juin 1987. Habillés en cosmonautes dans un vaisseau spatial dans lequel un certain Frank Dubosc promis à une carrière comique faisait de la figuration, les deux frères présentaient des extraits de films comme La Mouche noire, La Marque et Eraserhead, des reportages d’Alain Carrazé tournés en Angleterre et aux États-Unis sur les films du genre qui sortaient tels Alien et Dark Crystal, et sur des créateurs d'effets spéciaux comme Richard Edlund et Carlo Rambaldi, consacraient des entretiens à des grands écrivains de science-fiction comme Arthur C. Clarke, Philippe Curval et Gérard Klein, et diffusaient des épisodes de séries renommées comme La Quatrième dimension (The Twilight Zone), Au-delà du réel (The Outer Limits) et Le prisonnier. A des millions d'années lumière de la télévision actuelle - même s'il a pu récemment leur arriver d'apparaître à l'écran au côté de l'animateur Cyril Hanouna, chaque numéro de « Temps X » se concluait par une question philosophique portant le téléspectateur à réfléchir et lui faisant prendre conscience de la place modeste qu'il représentait du point de vue de l'infini du temps et de la vastitude de l'espace cosmique. Habituellement diffusé le samedi après-midi, le magazine avait fini par être relégué à des horaires variables, en soirée et à heure pas très régulière, ce qui avait constitué une première entrave fâcheuse à l’assiduité du public. Certaines émissions pouvaient en revanche être quelquefois surprenantes voire décevantes comme celle prometteuse sur la vie extraterrestre qui était principalement articulée autour d'un dessin animé destiné à la jeunesse, Le Secret des Sélénites de Jean Image. Les Bogdanov avaient aussi annoncé dans la presse un certain nombre d'épisodes de la série britannique Dr Who qui avaient été doublés en français, mais ils seront finalement diffusés dans le plus grand anonymat à 6 heures le dimanche après l'arrêt de l'émission, relegués à une case vacante de la grille des programmes pour la jeunesse pour un hypothétique public matinal.
Le vaisseau spatial miniature du générique de l'émission "Temps X".
Pascal Pinteau a créé le navire, qui a été filmé par Jean-Manuel Costa.
Etant également maquilleur, Pascal Pinteau a conçu à l'occasion quelques maquillages notamment pour une fiction diffusée dans le magazine, dont celui-ci appelé "bacille métalorphe", un masque en latex avec un système diffusant un liquide gluant, et qui était muni d'une pompe afin de permettre à l'interprète de respirer.
La minisérie Astrolab 22 qui avait été produite par TF1 en 1985 et qui bénéficiait de trucages de Jean-Manuel Costa, diffusée dans le magazine, avec Pierre Londiche dans le rôle du Professeur Necker, était conçue comme une évocation pédagogique de la perspective des voyages spatiaux dans notre système solaire.
La privatisation de la Première chaîne semble avoir sonné indirectement le glas de l’émission. Dans une perspective de rentabilité, la direction décida de faire sponsoriser les programmes. Les Frères Bogdanov recentrèrent alors davantage l’émission sur la technologie de manière à intéresser de grandes sociétés industrielles, suscitant notamment l'ire du spécialiste scientifique de la chaîne, Michel Chevalet, qui commentait tous les lancements de fusées et s’estimait dès lors menacé sur son créneau. Il se pourrait qu'il ait eu quelque influence dans la décision d’arrêter l’émission qu’il voyait comme une menace pour ses attributions alors que la nouvelle direction n'estimait de toute façon visiblement pas qu'un magazine consacré à la science-fiction était suffisamment fédérateur pour une chaîne ambitionnant de devenir la première télévision du réseau européen de télédiffusion.
Alain Carrazé (à droite) pendant un reportage consacré au créateur d'effets spéciaux Richard Edlund, derrière lequel on peut apercevoir la tête d'un "chien de l'Enfer" du film S.O.S. Fantômes (Ghostbusters) à côté de l'affiche du film.
Tournage du film Dark Crystal, auquel un numéro de "Temps X" avait été consacré, mais nous fûmes probablement nombreux, particulièrement parmi les jeunes télespectateurs, à ne pas avoir eu l'occasion de le visionner, suite à la programmation chaotique du magazine, renvoyé en seconde partie de soirée à heure variable, et jamais rediffusé, une grande frustration concernant une oeuvre cinématographique aussi singulière et dont la réalisation fut un véritable tour de force, employant un nombre important de manipulateurs sous des plateaux surélevés. Il semble que ni la chaîne ni les auteurs ne désirent particulièrement la diffusion des reportages du magazine sur les films fantastiques et de science-fiction. Il aura fallu pour beaucoup d'entre nous attendre que l'éditeur propose un documentaire sur l'histoire de la production de Dark Crystal en complément du film pour découvrir enfin les extraordinaires coulisses et l'énergie déployée par l'équipe de Jim Henson pour concevoir cette oeuvre (le lecteur intéressé par ce grand créateur peut se reporter à l'hommage consacré en ces pages pour le vingtième anniversaire de sa disparition en mai 2010).
Diffusion de scènes finales terrifiantes de films mettant en scène des créatures monstrueuses dans le magazine "Temps X" : de haut en bas, La Marque / Quatermass II (les deux photos du haut), classique de 1957 produit par la société britannique Hammer, avec les extraterrestres démasqués tentant d'asphyxier les ouvriers de l'usine en bouchant les conduits d'aération avec le corps de leurs collègues, la découverte du savant téléporté et accidentellement fusionné avec le corps d'un insecte, sur le point d'être dévoré par une araignée en sa toile dans La Mouche noire / The Fly en 1958 et l'enfant monstrueux et souffreteux d'Earserhead / Labyrinth Man, film expérimental de David Lynch en 1977 (les deux photos du bas).
L'émission des Bogdanov a permis aux téléspectateurs de découvrir des séries célèbres mais demeurées invisibles en France, à commencer par un grand nombre d'épisodes de La Quatrième dimension (The Twilight Zone) dans lesquels le Fantastique s'enracine principalement dans la psychologie des personnages. Ces épisodes à la conclusion souvent assorties d'une morale étaient introduits par le créateur Rod Serling (photo du haut). Sont présentées ici quelques images renvoyant à certains des épisodes les plus marquants diffusés : L'abri (The Shelter) dans lequel une fausse alerte nucléaire amène des voisins à s'entredéchirer, une situation qui renvoie à l'actuelle pandémie qui a suscité bien des changements psychologiques aussi inattendus que détestables ; deux épisodes empreints de nostalgie avec un homme quelque peu désabusé qui se retrouve face à lui-même enfant dans Souvenir d'enfance (Walking Distance) et son homologue qui aspire à une vie moins stressante en rêvant d'un petit village idyllique qui n'existe peut-être que dans son imagination dans Arrêt à Willoughby (Stop to Willoughby), en dessous, Barry Morse (l'interprète du scientifique Victor dans la première saison de la série Cosmos 1999 (Space 1999) de Gerry Anderson) joue le détenteur cynique d'un piano magique capable de faire surgir le vrai visage de chacun (les deux photos suivantes) dans Un piano dans la maison (A Piano in the House) ; en dessous, Burgess Meredith dans un épisode cruel, Question de temps (Time Enough at Last), incarne un homme opprimé qui voit la fin du monde comme une opportunité pour lire enfin tranquillement jusqu'à ce que ses lunettes se brisent, puis compose un bibliothécaire harassé par une société totalitaire et utilitariste face à un procureur impitoyable incarné par Fritz Weaver qui décide que sa vie est inutile et doit être abrégée par l'Etat dans L'Homme obsolète (The Obsolete Man) anticipant de deux ans le roman Fahrenheit 451 de Ray Bradbury sur un sujet voisin ; les trois dernières photos mettent en scène un autre acteur réputé, Kevin McCarthy (voir l'hommage qui lui fut consacré ici en octobre 2010) dans Longue vie, Walter Jameson (Long Live, Mister Jameson), interprétant un historien qui connaît bien le passé pour l'avoir vécu grâce à sa très longue longévité avant que son âge réel le rattrappe subitement lorsqu'une ancien compagne délaissée après être devenue vieille vient l'empêcher de causer la désillusion d'une autre femme, un thème évoqué ultérieurement dans le film Highlander.
Parmi les autres séries proposées figuraient la vingtaine d'épisodes alors traduits d'Au-delà du réel (The Outer Limits), série contemporaine de La Quatrième dimension créée par Leslie Stevens et Joseph Stefano qui représentait pour la Science-fiction ce que cette dernière était pour le Fantastique, un programme inventif au budget modeste, comportant aussi bien des histoires originales que des adaptations d'oeuvres littéraires et s'achevant sur une fin souvent surprenante. Elle se caractérisait en outre par la présence fréquente de créatures monstrueuses. En haut, Donald Pleasance dans L'Homme qui détenait la puissance (The Man with a Power) interprète un homme effacé, malmené par son employeur et son épouse, qui obtient un pouvoir télékinésique. Les deux photos suivantes montrent la mésaventure d'un savant interprété par David McCallum qui a accéléré l'évolution des gènes de l'espèce humaine sur son organisme, se retrouvant avec un cerveau très développé mais le processus s'emballe en suscitant la vive et bien compréhensible inquiétude de sa fiancée, au cours de cet épisode qui est sans doute le plus connu de la série. Les photos suivantes montrent quelques créatures d'autres épisodes diffusés par les Bogdanov, les extraterrestres pacifiques fuyant le régime totalitaire de leur planète dans La pierre de lune (Moonstone), la pousse de fougère transformée par une entité extraterrestre dans Contrepoids (Counterweight) qui prévient les astronautes d'un centre d'entraînement que toute tentative de conquête de l'espace sera durement réprimée, et le microbe géant découvert dans un engin d'exploration interplanétaire dans Enquête sur un mystère (The Probe) dans lequel apparaissait brièvement sans être crédité l'acteur William Boyett évoqué dans l'article de décembre 2009.
Les épisodes de la série créée et interprétée par Patrick McGoohan Le Prisonnier (The Prisoner) dans le rôle-titre du "Numéro 6", remontant également aux années 1960 mais tournée en couleur, dans lequel un ancien agent secret est détenu dans un village (la série est tournée à Portmeirion, village du Pays de Galles au style architectural particulier) dont les dirigeants occultes tiennent apparemment à lui extorquer des secrets, furent aussi diffusés dans l'émission. Ils s'achevaient inévitablement par le commentaire d'un des Jumeaux "ainsi, les grilles du village se referment une nouvelle fois sur ce malheureux prisonnier", jusqu'à l'épilogue (photo du bas) dans lequel il est révélé que cette mise en scène n'avait finalement pour dessein que de tester la fiabilité de l'intéressé avant de lui proposer d'adhérer à leur organisation secrète alors même que son dernier tourmenteur, le Numéro 2 joué par Leo McKern (à gauche sur la photo) tombait en disgrâce pour avoir échoué dans sa mission.
Temps X a aussi diffusé deux courts-métrages de Jean-Manuel Costa, La tendresse du maudit, sur une gargouille de pierre qui s'anime, dans une atmosphère évoquant quelque peu Notre-Dame de Paris et son bossu solitaire,(les trois photos du haut) et Le Voyage d'Orphée, célèbre légende mythologique, dont la restitution est l'occasion d'un bel hommage aux films agencés par Ray Harryhausen, dans lequel le célèbre poète de l'Antiquité incapable de ramener sa bien-aimée Eurydice du monde des morts sans se retourner comme il s'y était engagé déchaîne la puissance infernale (quatrième photo), une scène tragique orchestrée par Jean-Manuel Costa (photo du bas) qui a aussi réalisé le générique de "Temps X" (lien vers son site officiel : https://www.jeanmanuelcosta.com/)
Les Frères Bogdanov reviendront cependant brièvement avec un magazine de vulgarisation scientifique « Futurs » sur TF1 en 1989 et 1990 avant de céder la place à leurs doubles virtuels dans un court programme similaire, Rayons X, diffusé sur la deuxième chaîne française, mais ils ne retrouveront jamais une émission traitant de science-fiction qui aurait pu avoir sa place sur le service public. Ils avaient écrit divers ouvrages scientifiques dont l’un en collaboration avec le philosophe chrétien Jean Guitton, ainsi notamment que « L’effet science-fiction » dans lequel ils s’interrogeaient sur la réticence des décideurs, et notamment des politiques qu’ils avaient interrogés.
Après Clefs pour la science-fiction, les Bogdanov avaient signé, à l'époque en orthographiant leur nom Bogdanoff, leur fameux essai L'effet science-fiction, qui révélait notamment que les hommes politiques français n'éprouvaient guère d'attrait pour le genre parce que tout ce qui se rapportait au futur, à une époque à laquelle ils auront disparu comme leur a déclaré Simone Veil, leur faisait peur - en contrepartie, leur manque de vision à long terme est souvent très problématique.
Les Bogdanov avaient occasionnellement écrit eux-mêmes de la fiction avec leur roman La mémoire double en 1985 qui jouait sur le titre en faisant apparaître l'image des Jumeaux sur la couverture. L'histoire préfigurait quelque peu le film Matrix avec sa réalité virtuelle dans laquelle est plongé son protagoniste, même si le sujet de la manipulation mentale d'un agent secret, cette fois au travers du conditionnement et de décors artificiellement recréés, constituait l'intrigue du film Project X de William Castle en 1968.
Les Jumeaux avaient reporté leur aspiration à la vulgarisation sur des parutions illustrées d'images infographiques, un ouvrage sur les extraterrestres dans la lignée de Jack Cohen, un autre sur les derniers jours des dinosaures et un troisième sur le temps, mais ils privilégieront le thème de l'origine de l'univers qu'ils ont tenté d'approcher au travers de leurs travaux universitaires.
Les Bogdanov ont écrit un certain nombre d'ouvrages scientifiques donnant corps à la vision de Descartes selon laquelle l'univers était d'abord une abstraction mathématique élaborée par le Créateur, une vision quasi-mystique qui fut accueillie fraîchement pas leurs confrères ; en bas à droite, l'essai Avant le Big Bang préfacé par leur ami Luc Ferry, philosophe et ancien ministre de l'Education nationale. Certains ont aussi considéré qu'au travers des différents titres, les auteurs empressés de diffuser leur thèse refaisaient toujours plus ou moins le même livre.
Des profils intrigants
Les Bogdanov étaient parvenus à demeurer extrêmement populaires, en dépit des nombreuses controverses qui s’attachaient à eux, la mise en cause de la rigueur de leurs travaux de recherche universitaire portant notamment sur l’origine de l’univers, des accusations de plagiat par des confrères, de voies de faits commises par Igor à la suite de sa séparation avec une compagne, et d’escroquerie à l’encontre d’une personne qui s’est donnée la mort, qu'il voulaient associer à divers projets ambitieux et coûteux dont la relance de l'émission "Temps X" sur la chaîne You Tube. Ceux-là accusèrent à leur tour l'entourage de la victime de manipulation ayant amené à son geste fatal. Il apaprtient à la justice d'établir la vérité, l'enquête se poursuivant en questionnant les proches impliqués indirectement. L’évolution spectaculaire du physique des Jumeaux était aussi un sujet de discussion, l’épaississement de leur menton et le développement impressionnant des pommettes notamment chez Grichka, ayant fait penser à un dysfonctionnement physiologique connu sous le nom d’acromégalie. Les intéressés avaient un temps évoqué leurs origines mêlées, notamment un père afro-américain, dont l'expression des gènes s'affirmait davantage au fil du temps, pour justifier ces caractéristiques de plus en plus marquées, puis avaient laissé entendre qu’ils expérimentaient un traitement novateur qui devait leur permettre de vivre bien au-delà de la longévité humaine ordinaire, peut-être plusieurs siècles, mais leur ami le philosophe et ancien ministre Luc Ferry a finalement révélé qu’ils avaient eu recours à l’implantation d’une prothèse pour accroître un menton jugé pas assez prononcé et concrétiser une ressemblance avec un ancêtre slave, puis à l’injection de botox pour amoindrir les effets du vieillissement. Le triste paradoxe est qu’ils s’étaient ainsi prêtés à ces interventions chirurgicales et esthétiques mais qu'ils n'accordaient par contre pas suffisamment de confiance en la médecine pour se faire vacciner contre le COVID, estimant dans la lignée du controversé Professeur Raoult de Marseille qu’un bon état de santé suffirait à les prémunir contre les effets graves d’une contagion par le virus ravageur.
Les Frères Bogdanov au début de leur incroyable évolution physique
Tout en conservant une maison dans le Gers, les Frères Bogdanov étaient très implantés dans le milieu parisien et nombre de célébrités se pressèrent lors des funérailles. Ils étaient cependant moins présents sur les réseaux sociaux, ce qui n’a pas permis d’obtenir un entretien pour le blog. Demeure cependant le souvenir notable de « Temps X », et ce site continuera dans son sillage à proposer ici, autour de la thématique des créatures, ce mélange entre imaginaire et vulgarisation scientifique à la fois exigeante et critique, dans un éclectisme aspirant à réunir un riche lectorat.
*
Parmi les invités de l'émission « Temps X » figura notamment le dessinateur Jean-Claude Mezières qui vient de disparaître le 22 janvier 2022 à l'âge de 83 ans, lequel avait reçu les encouragements et le soutien d'Hergé à l'âge de 15 ans. Il était particulièrement connu pour ses bandes dessinées de science-fiction ayant quelque imprégnation humoristique, Valérian et Laureline, fruit d'une collaboration prolongée avec le scénariste Pierre Christin, également associé de longue date avec Enki Bilal. Les personnages avaient été portés à l'écran en 2017 sous le titre Valérian et la Cité des 1000 planètes par le cinéaste Luc Besson, recourant comme son habitude à des trucages essentiellement infographiques.
Jean-Claude Mezières avait publié un album recensant un certain nombre des créatures imaginées pour la saga, Les Habitants du Ciel, dont voici un florilège des plus originales :
entretien dans « Temps X »: https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i11073479/jean-claude-mezieres-a-propos-de-valerian-et-des-empires-galactiques
site officiel : https://www.noosfere.org/mezieres/
*
L'actrice Yvette Mimieux est décédée dans la nuit du 17 janvier 2022 à l'âge de 80 ans. Elle était surtout connue des amateurs de cinéma de science-fiction pour son rôle de Weena, une femme du lointain futur dans l'adaptation cinématographique par George Pal en 1960 de La machine à explorer le temps (Time Machine) d'après le roman d'Herbert George Wells. Elle renoua avec le genre en interprétant le Docteur Kate McKrae en 1979 dans Le Trou noir (The Black Hole) de Gary Nelson, dans lequel elle était encore une femme attirante.
Yvette Mimieux dans le rôle de Weena que vient secourir le voyageur du temps interprété par Rod Taylor, et qui lui montre grâce à un anneau précurseur des DVD des images des époques passées. En dessous, la belle et la bête, Weena menacée par un Morlock, issu d'une autre lignée future de l'humanité, descendants effrayants des classes laborieuses, dont le maquillage a été créé par William Tuttle.
Le Dr McKrae s'efforce de percer la personnalité du Dr Hans Reinhardt (Maximilien Schell), un explorateur forcéné de l'espace dont les robots dissimulent un terrible secret.
40 commentaires:
Beaucoup d'approximations et de contre vérités dans cet article qui fait la part belle aux deux jumeaux Bogdanoff
(avec ff à la fin, c'est devenu "V" pour ressembler a Asimov ^_^ ?) et fait limite passer leurs collaborateurs pour des "gros méchants" Seul "problème", c'est faux !
Les affreux dans l'affaire était les Bogdanoff qui durant toute leur carrière n'ont cessés de s'approprier le travail des autres !
Je ne peux pas parler au nom des petites mains qui ont travaillé sur Temps X, mais il y a énormément de choses à dire ce propos et à propos du comportement des deux jumeaux. Un chose est certaines : ils étaient plus proche d'un affabulateur pathologique comme Stéphane Bourgouin que d'un scientifique comme Hubert Reeves, si vous voyez ce que je veux dire...
Il n'ont en effet pas fait le quart ce qu'ils racontaient partout sur les plateaux télé
(NON, personne n'a jamais envisagé de les faire tourner dans un Star Wars...ils n'ont même jamasi rencontré George Lucas,
NON, ils n'ont PAS inventé le mot internet,...)
Le rôle des Bogda dans Temps X a part la présentation de l'émission : la prospective, imaginer ce que pourrait être le futur et que ça... les reportages série télé et cinéma étaient du fait d'Alain Carrazé et d'autres de leurs collaborateurs dont ils n'on cessé de d'approprier le travail sans vergogne a la manière d'un Paul-Loup Sulitzer !
Ils y eu aussi de nombreuses tentatives "d'embobinement" de personnes fortunés pour financer leur "recherches" (foireuses) : le baron Empain ou encore un homme riche mais psychologiquement instable qui ruiné c'est finalement suicidé (ils allaient être jugé pour cette affaire),...il y en a d'autres.
Bref, S'il vous plait arrêtez de les dépeindre les Bogdanoff comme des chevaliers blancs pionniers de la science,
ils étaient tout sauf ça, et, je n'ai fait qu'effleurer le sujet de leur coté obscur...
Je précise que je n'ai rien contre vous, je comprends qu'on puisse tomber facilement dans tout un tas de pièges quand ont parle de ces personnages... mais il est juste bon que certaines réalités soient rétablies en ce qui les concerne.
Et que le vrais responsables du succès de Temps X, Alain Carrazé et ses collègues soient mis en avant comme ils le méritent...
Bonjour,
Pouvez vous nous donner vos sources, svp ? Car pas mal de choses affirmées dans votre texte sont fausses :
- la cause de l’arrêt de l'émission.
- le nombre d'épisodes du "Prisonnier".
- la non-diffusion de la série "Doctor Who".
- l’enquête concernant les frères toujours en cours.
Ca fait déjà pas mal, mais il faut aussi ajouter à cela l'accusation que vous me faites d'avoir fait supprimer des vidéos sur YouTube. C’est une histoire séduisante mais fausse, là aussi.
Donc merci de nous dire quelles sont précisément vos sources car vous ne mentionnez même pas celles qui seraient fiable.
Lisez "NOS ANNEES TEMPS X" , écrit par Lainé Jean-Marc et Wybon Jérôme ...
Je vais m'efforcer de répondre aux observations formulées sur cette page. J'apprécie de voir que le dernier article publié suscite quelque intérêt et chacun peut constater que le commentaire est libre et les observations bienvenues dans le cadre d'échanges cordiaux et constructifs. Je ne connaissais pas les Frères Bogdanov personnellement et n'ai été en rien associé à l'émission « Temps X », par conséquent, l'article ne peut s'appuyer que sur le recoupement de sources indirectes et l'auteur fait état des informations les plus complètes dont il dispose, sous réserve de la contradiction par ceux qui ont été partie prenante ou à minima témoins des oeuvres (ou en l'occurence des émissions) évoquées.
Je lis et j'accueille avec intérêt les observations formulées par les lecteurs, mais je ne pense pas que le ressenti exprimé par le premier intervenant corresponde réellement à la teneur de l'article. Il a été décidé de proposer à ceux qui fréquentent ce site une évocation de l'émission « Temps X » suite à la disparition de leurs promoteurs en imaginant que cela pourrait être vu avec quelque sympathie par les anciens téléspectateurs du programme, même s'il est apparu sur les réseaux sociaux qu'ils étaient loin de faire consensus, et le partage de l'article par plusieurs internautes prouve qu'il correspondait à une attente en dépit des différentes publications de ce mois dans les médias officiels. Il n'a cependant nullement été dans l'intention de perdre toute distance critique. En ce qui concerne leur nom, il me semble que les deux orthographes sont équivalente, mais c'est assez anecdotique.
Je crois que cet article est au contraire le plus objectif qui ait paru sur internet suite à leur décès, les autres tendant à s'inscrire dans la pure louange. Vous devriez justement me rendre grâce de ne pas avoir occulté que l'émission qu'ils avaient su lancer et animer faisait appel à divers talents comme les créateurs d'effets spéciaux Pascal Pinteau et Jean-Manuel Costa ainsi que l'auteur principal des reportages Alain Carrazé, et j'ai même tenu à ce que chacun d'eux ait droit à sa photo d'époque, les autres hommages n'ont à ma connaissance même pas mentionné leur nom. Je ne vois aucune allusion en leur défaveur, ils représentaient une part essentielle de l'émission, et le fait de les associer à cette évocation prouve justement qu'on a opté pour un angle bien différent que la chronique classique et apologétique des célébrités décédées. Je n'ai pas davantage fait état de la rencontre alléguée avec George Lucas et ai bien au contraire écrit que c'était Alain Carrazé qui partait à l'étranger pour y tourner des reportages sur les films de science-fiction. Votre souci d'attirer l'attention sur les différents contributeurs de l'émission est louable mais je pense que cela ne m'apprends rien ni aux lecteurs puisque ces informations figurent déjà dans le texte. D'ailleurs, même si la thématique du blog porte principalement sur les créatures, dans la mesure où on pourrait y relier avec quelque pertinence les carrières de Pascal Pinteau, Jean-Maniel Costa et Alain Carrazé, je serais tout à fait disposé à leur consacrer article ou entretien - de manière générale tous les auteurs, artistes ou chercheurs qui partagent cet intérêt pour le thème des créatures sont bienvenus et cet avec plaisir qu'on a déjà proposé ici des entretiens avec l'écrivain de science-fiction Max-André Rayjean et le spécialiste des légendes basques Claude Labat (voir sommaire).
L'opinion exprimée est également injuste quant aux éléments controversés de la biographie des Bogdanov, sur ce point aussi, cet article a été l'un des rares à ne pas verser dans l'hommage purement laudatif quitte à déplaire, en évoquant la contestation de la rigueur de leurs travaux par une partie importante de la communauté scientifique, l'impression qu'un certain nombre de leurs ouvrages scientifiques n'étaient principalement que des redites successives, les accusations de plagiat, une plainte pour voies de fait à l'encontre d'Igor et la lourde suspicion de tentative d'escroquerie – je ne me souvenais par contre pas d'une première tentative dont aurait fait l'objet le Baron Empain.
J'ai découvert il y a quelques jours l'existence du livre « Nos années Temps X » que je ne connaissais pas, écrit avec la participation des Bogdanov. Je l'ai commandé.
Le soucis d'exactitude est au cœur de ce site depuis sa création. Indiquer que la série Le Prisonnier comporte « une vingtaine d'épisodes » n'est pas une erreur, au pire une approximation, puisque 17 épisodes ont été réalisés jusqu'à l'épilogue compris – en dépit de ceux qui prétendent qu'elle n'a pas de fin, ce qui là est réellement une erreur. Le dictionnaire indique qu'une vingtaine représente « un nombre approximatif de vingt ». « Approximatif » signifie bien que le nombre est proche de vingt sans être nécessairement atteint – il peut aussi être légèrement supérieur, et force est de constater que 17 est plus proche de 20 que de 10, aussi, on ne peut reprocher qu'une insuffisante précision dans la formulation.
Il paraît assez manifeste que les responsables de TF1 n'ont pas estimé la série Doctor Who suffisamment attrayante pour intéresser les téléspectateurs de l'émission « Temps X » en dépit de l'enthousiasme qu'affichaient les Bogdanov à son égard, et qu'ils ont préféré la reléguer le dimanche vers 6 heures en l'assimilant aux programmes pour la jeunesse pour un hypothétique public matinal. On ne peut qu'estimer selon toute apparence qu'elle a servi de bouche-trou dans la grille dans les plages horaires les plus confidentielles, mais si vous avez d'autres informations, vous pouvez bien volontiers nous en faire part.
Pour ce qui de l'arrêt de l'émission « Temps X », je n'ai fait que rappeler la séquence qui a précédé sa déprogrammation, la privatisation, la politique de recherche des sponsors, la concurrence durement ressentie par le spécialiste scientifique de la chaîne. Je ne suis pas dans le secret du diffuseur, je ne prétends pas qu'il n'a pas pu exister d'autres motifs expliquant la fin de ce programme iconique, mais si c'est le cas, ils ne me sont pas connus.
En ce qui concerne les investigations sur la supposée tentative d'escroquerie, je m'appuie simplement sur un article du quotidien « Le Monde » qui explique que les poursuites à l'encontre des Bogdanov sont éteintes avec leur décès, mais que l'enquête se poursuit pour tenter d'éclaircir les raisons ayant pu pousser le suicidé à mettre fin à ses jours auprès de témoins, susceptibles d'éclairer la manipulation dont il aurait été l'objet de la part des deux frères ou les pressions de son entourages selon ce que prétendaient ces derniers pour leur défense, et l'on se garde prudemment de prendre position sur la question, sans trancher dans un sens ou dans l'autre.
En ce qui concerne la suppression de vidéos par Alain Carrazé, que le second intervenant pourrait représenter (son identité m'apparaît simplement comme « Inconnu »), là encore, je n'invente rien, il y a quelques années, on pouvait trouver un nombre importants de reportages sur des films réalisés pour « Temps X » mais ils ont été retirés et j'ai pu lire alors sur un forum des propos qui vous étaient attribués selon lesquels vous estimiez d'une grande incorrection de diffuser ainsi librement des reportages sans avoir sollicité votre accord et que n'hésiteriez pas à user de moyens légaux pour obtenir leur retrait. Je vous assure qu'y a rien de "séduisant" dans cette information que j'ai tenté de présenter de manière relativement neutre, seulement le regret que cette documentation ne soit pas accessible au public – déplorant moi-même que les aléas de la programmation m'aient à l'époque privé de la possibilité de voir le reportage sur Dark Crystal, ce qui fut pour moi une grande frustration jusqu'à ce que le distributeur propose en supplément du film les coulisses de la production. J'ai simplement restitué ces éléments pour rappeler votre contribution plus qu'appréciable à l'émission et exposer que ce riche contenu n'était pour l'instant pas visible, jusqu'à ce que entrepreniez de le mettre vous-même en ligne. Si vous souhaitez évoquer cette expérience au service de « Temps X » en l'assortissant de quelques photos d'archives notamment relatives à notre thème des créatures, naturellement ce blog serait ravi de vous accueillir plus officiellement – d'autant que vous m'aviez aimablement répondu quand j'avais écrit à l'émission pour m'enquérir de la diffusion d'autres épisodes d'Au-delà du réel.
Bonjour,
Je ne suis pas tres habitué à ce type de forum et oui c’est bien moi ( Alain Carrazé) qui apparait sous la mention "Unknown".
Le livre "Nos Années Temps X" est un ouvrage extrêmement rigoureux et très référencé sur l'émission. C'est LE livre de référence avec de très nombreux témoignages. J'ai moi-même confié à Jerome énormément de documents et photos personnelles qui illustrent le livre, certaines d'entre elles sont d'ailleurs reproduites dans le corps de votre article.
- J'ai fait diffuser 13 épisodes du "Prisonnier". Pas 17 ni 20. Je vous rappelle que 3 épisodes n’étaient pas doublés à l'époque. Donc puise que vous insistez sur la signification de "vingtaine", 13 est plus proche de dix que de vingt. Je n'aurai pas été si loin dans le pinaillage, à titre personnel mais vous m'y emmenez :-)
- On a bel et bien acquis Doctor Who pour temps X PAR TF1. J'insiste. Temps X n'est pas un "media" en tant que tel et ne possédé pas ses propres programmes. Donc oui, on a soigneusement sélectionné les épisodes depuis les locaux de la BBC à Londres, et lancé le doublage. Et puis Temps X s'est arrêté. Mais l'achat était déjà validé par TF1. Il est donc faux de dire que TF1 s'est ravisé. La série n'est pas arrivée dans Temps X car il n'y avait plus de Temps X ! Encore une fois, d’où tenez vous votre version ?
Comme Temps X a disparu de l'antenne, la série , acheté et doublée , est tombés dans les nouvelles émissions destinées à la jeunesse ( pour rappel, Temps X dépendait de ce département) et donc dans les émissions de Dorothée. Mais elle a fait un bide très prévisible puise que diffusée dans le désordre et sans la moindre explication. Je ne pouvait rien y faire.
- Temps X ne s'est pas arrêté par jalousie de qui que ce soit, par sponsoring ou autre. Elle s'est arrêté parce que , tres couramment, les émissions de télé s’arrêtent et que TF1 en a décidé ainsi après de nombreuses années. Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures. Encore une fois, d’où tenez vous toute ces histoires ?!
Pour tout cela, le livre de Jerome et Jean Marc vous donneront énormément de détails, de la bouche même des intéressés, des réalisateurs, etc...
- en ce qui concerne les reportages qui ont été illégalement mis sur YouTube, oui, cela m'a énervé car cela a été fait sans que qui que ce soit ne soit informé. Ni moi ni les réalisateurs. A une ère ou tout le monde peut joindre tout le monde via les réseaux sociaux, c’était un peu rude. Et surtout, la personne qui les as mis en ligne avait, avec moi, en privé, un discours TRES TRES différent de celui qu'il tenait en public. Pour résumer : il était très condescendant avec ce qu'il appelait "des petit reportages poussiéreux", sans grand intérêt à ses yeux et ne méritant pas qu'on s'y attache comme je le faisais. De plus, il ne mettait strictement aucun nom dans ses description, seulement "l'équipe de temps X". Il m'a avoué ne pas avoir ni recherché ni chercher à le faire. J'ai donc insisté pour qu'il crédite correctement les gens.
Je lui ai dis ce que je vous dit aussi : je n'ai aucun droit légal là-dessus. Ces reportages appartiennent à TF1, via l'INA ou TF1 International. Je n'ai donc aucun droit de mise en ligne à donner, je n'ai pas le pouvoir de le faire et encore moins de les faire retirer. Et comme ces reportages ne peuvent pas non plus être mis à disposition par ces même distributeurs en raison des extraits de films qu'ils contiennent, dénoncer ne sert à rien.
Bref : je ne lui ai pas demandé qu'il les retirent et d'ailleurs je crois qu'ils sont toujours en ligne. C'est la méthode et la manière qui m'insupporte : profiter du travail des autres et , en quelque sorte, se les accaparer à son propre bénéfice. Je n'ai donc rien "fait retirer de manière autoritaire" comme vous m'accusez si aimablement de l'avoir fait, transformant la victime en coupable. Je sais bien qu'il est toujours bien vu de condamner les gens qui s'opposent à la libre circulation des œuvres et au partage gratuit tout azimut. je suis donc un coupable idéal.
Et donc, vous l'avez bien compris, je ne peux pas moi-même les mettre en ligne même si je le voulais.
J'espere vous avoir éclaircis sur ces points. J'attend avec impatience que vous nous donniez les sources de vos deux affirmations.
Enfin, puiseque vous évoquez le peu d'articles rigoureux recemment sortis suite au deces des jumeaux, voici :
https://www.lepoint.fr/pop-culture/les-sept-temps-forts-de-temps-x-07-01-2022-2459589_2920.php#xtor=CS2-238
Et voici :
https://www.20minutes.fr/arts-stars/culture/3212555-20220107-dis-papy-pourquoi-saoules-temps-x-freres-bogdanoff?fbclid=IwAR223ahLi5qidYMLbjyPTQDp069X0dst0q4mIEykwXBMBy9we9L4F6N3NE0
Vous noterez la source de ces afrticles : le livre de Jerome.
Cher Monsieur Carrazé, soyez grandement remercié pour votre intérêt et pour vos précisions, et si j'ai pu bien involontairement vous sembler quelque peu désobligeant à votre égard du fait de ma connaissance forcément partielle en tant qu'observateur, soyez assuré de mes regrets et de ma pleine considération. Effectivement, "Temps X" remonte à quelque décennies à présent, je me suis efforcé d'être le plus honnête et pour l'arrêt de l'émission, j'ai mis en perspective l'évolution de la thématique de l'émission (la science-fiction de plus en plus rare selon mes souvenirs au profit de la technnologie futuriste), avec le contexte de TF1 (le systématisme du sponsoring des différentes émissions suite à la privatisation, et par ailleurs l'indignation du spécialiste scientifique de la chaîne s'estimant doublé par la nouvelle orientation du magazine tel que la presse (je n'ai plus le titre en tête, peut-être un magazine de télévision ou VSD) s'en était alors fait l'écho dans quelque chronique ou notule relative aux coulisses de la télévision), induisant pour moi une chaîne causale reliant plusieurs éléments et me paraissant logique et probable quoique non exclusive d'autres explications, à défaut qu'une raison ait été donnée par le communiqué officiel présentant la grille des programmes de la rentrée comme il était d'usage.
Pour la série "Le Prisonnier", je pensais que la série avait été programmée dans son intégralité, étant donné que le fameux épisode final dont beaucoup doutent de l'existence a bien été diffusé. Il est à la réflexion très possible que j'aie par la suite vu notamment deux épisodes assez délirants, difficilement compréhensibles et périphériques, l'un qui se situe dans un far-west en carton-pâte, l'autre dans un phare aux temps des guerres napoléoniennes, sur la Sixième chaîne.
Concernant la série Dr Who, j'ai simplement souvenir que les Jumeaux avaient annoncé avec enthousiasme l'arrivée de cette série en France mais qu'on l'a attendue en vain, je ne pourrais affirmer si à la date de leur annonce, « Temps X » existait encore ou bien si le magazine télévisé avait déjà disparu de l'antenne, comme vous l'indiquez manifestement en connaissance de cause.
Je connaissais l'article de « 20 minutes », celui du « Point » m'avait échappé, je vais en prendre connaissance.
Je n'avais effectivement qu'une version de l'histoire des reportages, avec les propos qui vous étaient prêtés. Il est vrai qu'à titre personnel, je trouve positif de pouvoir diffuser au public des documents rares (je recherche ainsi désespérement toutes images relatives au costume animatronique à tentacules non utilisé pour La Chose d'un autre monde en 1951 que le créateur décédé a malheureusement perdues, et les photos de sculpture d'animaux du futur inspirés de concepts de Dougal Dixon qui figurent dans un magazine turc qu'il n'est pas possible d'acheter de l'étranger et dont le téléchargement a été supprimé quand le FBI a démantelé le site Megaupload...) mais, étant d'ailleurs moi-même écrivain s'apprêtant à faire publier plusieurs recueils et concepteur de créatures spéculatives inspirées par l'évolution, je tiens toujours à créditer quand ils sont connus (il peut arriver que ce ne soit pas le cas pour quelques illustrations anciennes) les auteurs des œuvres que j'évoque et comme vous l'avez vu, j'avais donc tenu à vous citer dans le passage principal relatif à l'émission, et a y présenter votre portrait afin de vous identifier clairement pour les lecteurs. Vous m'apprenez que le diffuseur des reportages s'est montré particulièrement désobligeant à votre égard, je le déplore sans réserve tant son irrespect est éloigné de ma manière de penser, et il est de plus contradictoire de désigner avec condescendance ces réalisations qu'on estime en même temps nécessaire de mettre à disposition du public. Je ne savais pas en quelle mesure vous auriez effectivement pu vous réclamer des droits des reportages, si vous les aviez fait réaliser dans le cadre d'uns société de production personnelle, mais cela se pratiquait moins à l'époque (tout comme avant les années 1980, les ateliers d'effets spéciaux étaient un département des studios avant que les principaux maquilleurs ne créent leur propre entreprise engagée au travers d'un contrat de sous-traitance). Sur ce plan-là, je peux difficilement donner tort à l'internaute de prendre l'initiative de mettre en ligne des vidéos lorsque de grandes sociétés comme TF1 ou des éditeurs qui détiennent des droits de diffusion font souvent de la rétention parfois indéfiniment, refusant qu'on mette à disposition des productions que par ailleurs ils n'exploitent pas en estimant leur rentabilité négligeable, ce qui empêche à la fois le public d'en prendre connaissance, mais aussi les auteurs de pouvoir faire apprécier leur travail aux personnes intéressées.
Je rectifie donc quelque peu l'article de manière à ce que, à côté des réflexions qui me sont propres et que je modifie pour en laisser transparaître la nature conjecturale, les correctifs soient apportés. Si d'autres précisions m'apparaissaient nécessaires au vu de la lecture de l'ouvrage, inflêchissant plus avant mes déductions personnelles, je n'hésiterais pas à les inclure pour une plus grande exactitude.
Veuillez recevoir mes salutations cordiales
Hello,
Je note vos excuses. Ne vous inquiétez pas. Comme je vous l'ai déjà dit, c'est assez traditionnel que de victime d'un piratage,je passe en "accusé". Je suis habitué. le storytelling du méchant empêcheur de partager en rond fonctionne toujours tres bien. :-) :-) :-)
Donc, si je comprend bien , vos affirmations péremptoires et très assurées reposaient non pas sur une source crédible mais sur votre réflexion.
Il n'y a pas de problème à faire des suppositions et des analyses. Mais il faut alors le préciser en tant que tel et pas les proposer comme des faits. La simple mention "on peut penser que... " ou même "à mon avis"... je n'ai pas de leçons à vous donner mais je trouve la démarche un peu bizarre, surtout quand on se targue d'avoir fait des recherches et de veiller à la rigueur des propos émis, comme vous l'avez écris.
Vous savez pertinemment que,sur internet, ce qui est ecris est pris comme vrai,automatiquement.C'est la base de toute les fake news. Peu de gens vont faire la démarche de se demander si ce que vous affirmez est crédible.
Sinon, en plus du livre de Jerome, beaucoup des points que vous mentionnnez ont déjà été évoqués dans des articles. Les deux que je vous ai partagé ne sont pas les seuls. L'histoire de la diffusion malheureuse de "Doctor Who", par exemple, a par le passé été raconté dans un article.
En ce qui concerne les reportages qui ont été piratés et mis en ligne sans droits, sans crédits et sans avoir la politesse de nous avertir ( reconnaissez que ça fait beaucoup ! ), vous êtes le premier à imaginer que les journalistes télé sont propriétaires de leur sujet via une société de production etc etc. C’est un peu compliqué ! Inutile de vous triturer la tête comme ça ! La solution assez simple consiste à se dire que les droits d'un programme ancien sont à l'INA ou à TF1 International. Voila. Ca, c’est simple ! C'est le fondement de ces sociétés, qui conservent et gèrent les droits des émissions du passé. C’est d'ailleurs grâce à leur travail que j'ai pu faire obtenir à BBC Enterprise, le reportage que j'avais fait sur la série Doctor Who et qu'il figure maintenant en bonus d'un Blu Ray anglais !
Comme je vous l'ai deja précisé, énormément de sujets dans Temps X ont été produit sur la base de la promotion du film qui sortais à ce moment là. Il était entendu que ces sujets n'allaient pas être rediffusés. Il y a donc un soucis de droits à le faire 40 ans plus tard. Ce n'est pas par pure méchanceté que des éditeurs ne publient pas des œuvres qui, potentiellement, peuvent leur rapporter...
Je n'approuve pas du tout que l'on soutienne une personne qui décide, pour son propre intérêt, de bypasser les détenteurs des droits et les créateurs d'un programme. Désolé. Vous qui êtes auteur, accepteriez vous qu'une personne scanne et publie gratuitement vos livres, sans vous le dire et en retirant votre nom, cela dans le but "d'en faire profiter tout le monde" et de nier le temps et le travail que vous y avez mis, ainsi que l'investissement de l'éditeur ? Non. Bon. Voila. Pareil. Vous transformeriez vous en délateur pour autant ? Non. Ben voila. Vous seriez en colère ? Oui. ben moi aussi.
Vous voyez ? C’est simple, non ?
Sur Le Prisonnier, vous m'avez renvoyé à l'article du « Point », celui-là affirme dans un sous-titre que la totalité des épisodes ont bien été diffusés par Temps X – voyez comme il est difficile de faire la part des choses lorsqu'on a comme moi un point de vue extérieur. En ce qui concerne mes "affirmations péremptoires", il s'agit de déductions qui reposaient sur les informations dont j'avais connaissance, toute vérité comme en science est provisoire, étant susceptible d'être revue à l'aune de nouvelles découvertes, en paléontologie, par exemple, il peut y avoir des erreurs lorsqu'on tente de reconstituer des fossiles, à fortiori si des éléments ne nous sont pas connus sans même que l'on puisse le deviner. Ceux qui diffusent leurs écrits prennent le risque de recevoir des critiques au même titre que tout créateur et je n'ai encore une fois jamais prétendu mieux connaître un des nombreux sujets que j'aborde que ceux-là mêmes qui ont pris part aux œuvres évoquées. Sur l'affaire des vidéos, je ne disposais pas de votre version mais l'internaute prétendait restituer vos propos, donnant l'impression que l'on avait un aperçu de l'échange et de la teneur des arguments fortement opposés des deux parties, je ne pouvais naturellement savoir que des dires fort peu amènes vous avaient en complément été assénés en privé, ce qui, je l'ai dit, est regrettable et peut-être imputable à une tension montante au fil de l'échange. J'ai cependant tenu compte de vos remarques en nuançant ces affirmations.
Pour ce qui est de la reconnaissance des auteurs, je suis d'accord puisque j'ai écrit qu'il fallait les en créditer, ce à quoi je m'efforce et mon article vous en apporte la preuve. En ce qui concerne les droits, je pense que le sujet est assez complexe, les extraits de films appartiennent effectivement aux producteurs et distributeurs de l'oeuvre, les passages du "making of" à proprement parler ont un statut moins évident, un spécialiste d'effets spéciaux m'a indiqué qu'il est d'usage d'attribuer les droits d'utilisation au photographe qui a fait les clichés lors d'un reportage, il se peut qu'il en aille de même pour les scènes filmées et les interviews conduites par l'auteur du documentaire (ou en l'occurence pour la société qui l'emploie, soit TF1). Ce que j'ai laissé entendre dans ma réponse précédente est qu'il est dommage que le public soit privé de certains documents et que par la même occasion, l'auteur n'ait ainsi pas la possibilité de faire apprécier son travail faute de diffusion, je n'ai rien laissé entendre de plus ni de moins. Evidemment que le droit d'un auteur doit être assuré, je le repète, mais si vous m'avez bien lu, j'évoquais le cas fort triste de La Chose d'un autre monde de 1951 auquel un amateur de cinéma de science-fiction comme vous ne devrait pas rester indifférent : toute trace du premier costume mécanisé d'extraterrestre non humanoïde du cinéma a disparu, le créateur ayant perdu ses photos, je suis persuadé que si quelqu'un en avait conservé des copies et les avait diffusées au plus tard après la mort du concepteur, il aurait été chaleureusement remercié pour sa contribution par les historiens du cinéma. Moi-même, je serais heureux d'avoir l'assurance que si je venais à disparaître précocement, un bien hypothétique ami s'efforcerait de diffuser mes différentes créations à ceux qu'elles pourraient intéresser. Je maintiens qu'un certain nombre d'écrivains, notamment aux USA au temps de l'âge d'or de la S-F, n'ont pas pu diffuser durant des années leurs œuvres, des éditeurs en conservant les droits sans les rééditer et les attaquant néanmoins lorsqu'ils tentaient de les inclure eux-mêmes dans leurs propres recueils... Si un travail n'est plus jamais montré, on n'a alors plus jamais l'occasion de l'apprécier et donc d'en louer son créateur, cela aussi est assez simple. Le droit d'auteur est important et doit être préservé mais je n'en persiste pas moins à penser que la pire atteinte à une œuvre est sa non-visibilité permanente voire sa perte semble-t-il irrémediable comme les concepts et le costume créés par Harper Goff pour The Thing from another world - que j'ai particulièrement recherchés, à la fois par intérêt personnel et pour un futur article sur ce même site ainsi que pour un projet de semi-documentaires auquel je m'attèle.
Ces réflexions personnelles n'ont pas vocation à heurter frontalement votre ressenti que j'entends, et comme je l'ai dit, j'ai reformulé en partie le texte de l'article pour tenir compte de vos observations. En dehors du « Point » et de « 20 minutes », les grands titres comme « Le Monde », « Le Figaro » et autres ne vous ont pas mentionné à ce qu'il me semble dans les évocations de la disparition des Bogdanov, ce à quoi j'ai au contraire veillé et je me figurais que si jamais vous veniez à avoir connaissance de cet article, vous apprécieriez cette attention de délivrer une information aussi complète que possible, n'omettant pas votre contribution. Le but de ce blog est de partager une passion commune pour les êtres imaginaires et la vulgarisation sur le monde vivant, en s'efforçant de faire preuve d'autant de sérieux que possible et en tenant compte des différentes sources disponibles, avec l'objectif de faire parfois redécouvrir des auteurs un peu oubliés lorsqu'ils disparaissent (l'illustrateur Edd Cartier, les dessinateurs de Weird Science, les maquilleurs et créateurs d'effets spéciaux renommés mais ignorés du grand public James Cummins, Michael McCracken Sr, Henry Jesus Alvarez, voire même Carlo Rambaldi sur lequel n'existe à présent plus d'article aussi complet sur internet que le mien, même en anglais depuis la disparition subite du site Mastercylinder), entreprise qui devrait en principe susciter votre intérêt voire votre sympathie, et donc le dessein n'est nullement de chercher à cultiver la polémique au-delà de l'angle anticonformiste avec lequel sont abordés certaines thématiques comme l'hégémonie des trucages virtuels et la systématique moléculaire.
Docteur Allen, excusez moi mais vous allez bien trop loin.
"toute vérité comme en science est provisoire, étant susceptible d'être revue à l'aune de nouvelles découvertes." dites vous. Non mais avez vous conscience que vous parlez là d'une émission de télévision qui a été diffusée, vue, référencée et qui a suscité des articles et un livre ? UN LIVRE ! Vous mentionnez tous les essais des jumeaux et pas le livre qui aurait pu être la base concrète de votre article !!!!!
De plus, tout les intervenants sont encore en vie - à l'exception des jumeaux. Donc savoir ce qui a été diffusé en 1980 n'a - excusez moi- rien en commun avec des fouilles archéologiques !
Votre texte avait de grosses erreurs, que nous avons corrigé ensemble. Tant mieux. C’est le principal. N'essayez pas de me démontrer que tout cela est inéluctable et normal car vos justifications, là, sont juste pas très sérieuses.
Sur le point de la diffusion illégale des reportages : visiblement, vous ignorez les obligations, contraintes te fonctionnement du métier. ce n'est pas un reproche, hein. C’est très normal. Mais alors n'essayez pas d'inventer ou d'imaginer sans savoir. Entre le journaliste qui détient les droits et là les images de making of dépendant du cadreur et de ses rapports avec TF1... Vous vous embourbez dans des considérations légales alors que j'ai essayé de vous expliquer le plus simplement possible comment cela fonctionne et comment toutes et tous le savons quand nous produisons du contenu : il n’était pas déstiné à être rediffusé ou exploité. C'est pourtant simple : ce sont les ayant droits qui ont le pouvoir de distribuer ou pas une création et pas un particulier qui décide de le faire à leur place sous de faux prétexte. Vous vous acharnez à défendre le modèle illégal et que c'est peut être "la tension montante au fil de l’échange" qui serait la cause de je-ne-sais-quoi ... Ohlàlà ! Tres bien. J'aurai essayé d’être pédagogue. Je ne vais pas vous convaincre si vous ne souhaitez pas l’être.
Enfin qu'est ce tout cela à avoir avec moi, avec mon ego ? Vous ais-je parlé de ça ? Et parce que votre blog est destiné à une niche de passionnés, je ne devrais pas vous faire remarquer vos erreurs ? Ma sympathie devrait primer sur l'exactitude de vos propos ? Heuuuuuhhhhh...
Donc en gros, je suis méchant, et j'aurai tort, et vous êtes le gentil, c'est ça ?
En conclusion, j'ai pointé des erreurs, vous les avez corrigé, et on en reste là. Je n'ai plus envie de poursuivre ou de vous aider. Bonne chance.
Je ne comprends pas pourquoi vous interprétez mes réponses comme désobligeantes à votre égard.
Je vous ai déjà dit que je venais de découvrir l'existence du livre, quand on écrit sur beaucoup de sujets, on n'a pas la documentation intégrale sur tout, particulièrement lorsqu'on est un peu généraliste ; mais on est toujours prêt à compléter ses connaissances, je crois vous l'avoir démontré.
Ma comparaison n'est en rien ridicule - en histoire aussi, on découvre de nouveaux éléments sur des faits plus ou moins anciens. Quant aux intervenants, je suis toujours heureux de pouvoir échanger avec eux, mais quand on n'est pas connu médiatiquement, qu'on fait tout tout seul sur ses heures disponibles, on n'a guère d'appuis et on reçoit rarement de retour des professionnels qu'on contacte, il faut bien faire sans.
Je ne suis pas un défenseur de l'illégalité, je pose simplement un problème plus général, celui de la perte d'archives, notamment pour La Chose d'un autre monde. Si j'ai fait cette allusion à cette pièce majeure du cinéma tragiquement estimée perdue, c'est que je pensais que ce sujet pourrait vous intéresser, voire vous amener à envisager aussi la problématique sous cet angle. Par ailleurs, si vous n'avez aucun droit sur ces reportages, alors la conversation est pour le moins sans objet sur le plan pratique.
Je suis un peu surpris que vous paraissiez vous victimiser. Je veux bien entendre que l'on vous a manqué de respect lors d'un contact avec un autre internaute, mais convenez que je ne me suis pas, ou pour le moins pas intentionnellement, montré désobligeant à votre égard. A quel moment ai-je parlé de votre égo, c'est au choix une invention ou un procès d'intention. J'ai l'impression que vous m'assimilez à votre interlocuteur précédent. C'est dommage que quelqu'un dont on salue le travail dans un article ressente à l'inverse qu'on le méprise, ce n'a jamais été mon intention et si vous le pensez réellement, c'est regrettable.
Vous comparez la recherche d'artefact jamais rendus public avec une émission de télé qui a été diffusée et qui est conservée au sein des entités dont c'est la tache. Un peu comme des films sont toujours conservés par leur studio de production. Ca n'a donc strictement rien à voir !!!!!
Vous dites : " les grands titres comme « Le Monde », « Le Figaro » et autres ne vous ont pas mentionné à ce qu'il me semble dans les évocations de la disparition des Bogdanov, ce à quoi j'ai au contraire veillé et je me figurais que si jamais vous veniez à avoir connaissance de cet article, vous apprécieriez cette attention..." et je vous repond que ça n'a strictement rien à voir là encore. Mon égo ma mention ou pas n'est pas la question ici. Je n'ai d'ailleurs jamais évoqué cela envers vous. je ne vois donc pas pourquoi vous sortez cet argument. Les points de votre texte que j'ai évoqué n'ont rien à voir avec cela.
Vous écrivez ensuite : " Le but de ce blog est de partager une passion commune ///entreprise qui devrait en principe susciter votre intérêt voire votre sympathie" et je vous répond que cela n’empêche pas de pointer vos erreurs.
Es ce plus clair ?
Bon courage et bonne chance.
Jolie échange, je viens de le lire en entier comme votre "article". On dirait que le pas si gentil que ça docteur je-sais-tout (ni très fair-play) s’est fait moucher. Pas facile de se faire remettre à sa place quand on passe son temps à assener les approximations comme s’il s’agissait de vérités gravées dans le marbre. Vous devez être un type super modeste, ça se sent dans chacune de vos phrases et réparties, vos proches et vos collègues doivent adorer.
Vous devriez reconnaître les commentaires de gens éclairés qui, eux, savent de quoi ils parlent. Ne vous posez pas en victime offensée, avouez que vous avez bricolé à la va-vite un article pour attirer des lecteurs en "surfant" sur le décès des Bogdanoff.
Sans être d'accord avec le commentaire anonyme précédent (et m'immiscer dans votre vie privée que je souhaite plus réussie que vos articles) je dois avouer que je le comprends. Relisez-vous, soufflez et soyez un peu honnête. Vos réponses sont longues, laborieuses, pénibles et larmoyantes. Vous-même n'y croyez pas!
Une amie de ma sœur a côtoyé un temps les deux frères et je serais presque tenté de lui envoyer pour voir ce qu'elle pense de tout ça.
@Jérôme Dantin
Oui, vous avez sans doute raison pour la vie privée. Avez-vous demandé à l'amie de votre soeur ce qu'elle en pensait? Vous allez me trouver indiscret et dans ce cas ne répondez pas mais s'agissait-il de quelqu'un de l'époque de Temps X?
Yann
@yann
Ok Yann, c’est vous qui avez mis le mot anonyme. Je crois que nous nous sommes déjà croisés sur le net, n'est-ce pas! Pour vous répondre, non elle était écrivaine et écrit toujours autant que je sache. Je préfère ne pas donner son nom ici pour qu’il ne soit pas associé à ce blog dans les recherches, surtout sans son accord. Je ne l’ai d’ailleurs croisé que trois ou quatre fois chez ma sœur. Dommage que je ne puisse pas noter mon mail ici, nous aurions poursuivi cet échange en privé! J’habite sur Paris si jamais vous avez l’occasion d’y passer, ou si vous y habitez, n’hésitez pas à mettre un mot ici et se retrouvera autour d’un café si vous le souhaitez. Je vous rassure, je suis quelqu’un de très convenable!!!! Comme je suis en préretraite, je bénéficie de tous mes après-midi de libres plus les w-e. A un de ces jours peut-être. Je surveille si vous mettez un mot ce w-e.
@Jérôme Dantin
Eh oui, c’est moi! je suis sur Paris tous les mercredis pour ma société. On peut se voir au zinc du nord en face de la gare du même nom si vous le souhaitez, mais pas avant 16h30-17h. Sinon c’est un peu plus compliqué pour moi. Je serai sans doute accompagné de collègues qui reprennent le train avec moi, dont un qui est une véritable encyclopédie vivante du polar si ça vous intéresse? Moi, je suis resté fidèle à la sf depuis mon plus jeune âge. Films et livres.
@yann
Bien, mercredi ça va pour moi. Je vous attendrai devant la porte du zinc et si l’un de nous deux ne peut pas venir on repousse à la semaine suivante etc.
@yann
J’oubliais: bien sûr je suis toujours resté fidèle à la science-fiction. Nous pourrons en parler.
J'avoue que je suis assez déçu de la tonalité des divers commentaires, qui paraissent fort injustes et tournent aux procès d'intention et même aux attaques personnelles gratuites, ce qui me paraît si médiocre que je ne m'abaisserai pas à répondre sur ce point. Chacun est libre d'avoir son opinion, elle n'est pas forcément pertinente pour autant. D'abord, ce blog me demande un peu de temps en plus de bien d'autres activités créatrices et ne me rapporte pas un centime, mon seul intérêt est de partager ici une passion commune avec des lecteurs, et après plus de 110 articles, c'est la première fois que des internautes s'autorisent des commentaires d'un ton aussi déplaisant, pour ne pas dire suintant le fiel et le mépris, mais dès qu'on propose des contributions au public, il est inévitable que tôt ou tard, on reçoive ce genre de propos et d'insinuations de certains individus, je pense que si vous vous relisiez en toute honnêté l'un et l'autre, vous ne seriez pas fiers de votre condescendance déplorable. Mon seul objectif en publiant cet article sur les Bogdanov était de permettre à mes lecteurs de bonne foi de se replonger quelques instants dans cette émission célèbre en pensant que cela serait apprécié, ni plus ni moins. Je savais le sujet controversé, j'avais sous-estimé le volume d'inepties que susciterait cette publication, plus modeste il est vrai que ses contempteurs. On autorise la libre critique, la triste nature humaine en profite pour diffamer, distillant toutes les bassesses de derrière l'ordinateur..
Pour le reste, je repète à l'intention des lecteurs que je récuse totalement les accusations. Je n'ai pas occulté les éléments controversés sur les Bogdanov, comme déjà dit, je n'ai pas tu l'apport des autres contributeurs de l'émission qui sont au contraire même représentés en photos, il n'y a pas d'inexactitude qui ait été réellement mise en évidence comme je l'ai démontré (lorsque c'est le cas, je corrige aussitôt et bien volontiers un article), enfin, je ne vois pas en quoi j'aurais manqué de considération dans l'échange avec Alain Carrazé, j'ai juste regretté que, conformément à ce qu'il a fait valoir après une mise en ligne des vidéos sans son accord, nombre de ses reportages pour Temps X ne sont plus visibles, son distingo est assez spécieux, que des artefacts n'aient pas été rendus publics ou que des émissions ne soient plus accessibles, dans les deux cas, les spectateurs en sont privés indéfiniment, c'est ici le point de vue d'un passionné s'adressant à d'autres passionnés en me faisant je le crois l'interprète de beaucoup, lesquels me font régulièrement part de leur intérêt pour ce site. Il est d'ailleurs curieux que des gens qui prétendent chérir autant que moi la science-fiction n'expriment que mépris pour cette initiative généralement appréciée qui existe depuis 2008, et préserve des documents ayant disparu d'autres sites. On a parfois la chance de rencontrer des personnes estimables comme le regretté Joseph Altairac, mais tout le monde ne gagne pas à être connu, et autant j'honore l'intelligence, autant ce genre d'entreprise minable de démolition ne m'impressionne nullement.
Les jumeaux Bogdanov aussi controversés qu'ils soient ont au moins eu le mérite de nous faire rêver avec leur émission, vous, les "Frères Mickey" (cf Les Inconnus), n'apportez rien à ce blog, pas un commentaire intéressant, vous contentant de déverser sans retenue votre aigreur en passant. Vous me rappelez les critiques qui se sont toujours trompés sur les films, et à propos de polars, les commentaires stupides sur la série Inspecteur Derrick sur laquelle je proposerai prochainement une série d'articles pour faire justice des lieux communs assénés avec psittacisme par ceux qui comme vous se croient des esprits forts alors qu'ils se contentent de rabaisser - ce qui en dit plus long sur ceux qui dénigrent que sur celui qui est visé. Un certain nombre de mes articles, en particulier ceux consacrés à des créateurs de monstres peu connus du grand public, sont factuellement les plus complets de tout l'internet et salués comme tels. Je proposerai d'autres articles sur de nouveaux sujets passionnants, qui continueront d'intéresser les habitués. Ceux-ci peuvent se faire par eux-mêmes leur opinion sur des propos qui ne sont pas à l'honneur de leurs auteurs. Nous ne retenons pas les visiteurs de cette engeance, qu'ils aillent se donner rendez-vous ailleurs que sur cette page, puisqu'ils ne prisent pas cet espace d'échanges mis à la disposition des lecteurs intéressés et heureusement plus intéressants...
Cher docteur (!!)
Il n'était pas indispensable de remettre une pièce dans mon juke box derrière mon dos. L'affaire était close, les erreurs ont été corrigées, l'échange terminé en ce qui me concerne. Mais au hasard d'un passage, je découvre que non, il n'y avait finalement par d'erreur. On se demande pourquoi vous avez profondément modifié votre texte, alors (��������). Et je suis désolé de constater que ma petite pédagogie concernant les droits d'auteur n'ai pas fonctionné sur vous.
S'il vous plaît, laissez Temps X en paix. Laissez moi en dehors de vos échanges. Bygone.
Alain.
Cher Monsieur Carrazé (vous noterez que pour ma part je me dispense de discutables points d'exclamations en suffixe de votre patronyme..), je ne vois pas comment je pourrais "laisser Temps X en paix", c'est une étrange injonction de croque-mort (au nom de quoi, d'ailleurs ?) puisque l'objectif de cette publication était de permettre à ceux qui ont connu l'émission d'y retrouver avec un peu de nostalgie ce qui en a fait l'essence, au travers notamment de l'évocation de quelques moments forts des séries que vous aviez proposées dans ce cadre et c'est peu dire que je n'imaginais pas qu'au contraire, cela occasionnerait tant de critiques semblant avoir pour motivation principale de tenter de dévaloriser l'auteur - mais l'écrivain et l'artiste savent que les jugements d'autrui ne sont pas toujours bienveillants et objectifs, et les films eux-mêmes en font couramment les frais de la part des critiques,amenant à "faire la part des choses", le blog se poursuivra pour ceux qui l'apprécient, jusque de l'autre côté de l'Atlantique.
Je vous avoue que je ne pensais pas rouvrir le débat - ni que vous me feriez l'honneur d'un nouveau passage sur ce site,je ne peux en ce cas que vous inciter à la lecture des nombreux autres articles que je pense également intéressants - mais j'ai été amené à repréciser les choses suite aux commentaires désobligeants de deux visiteurs occasionnels, ignorant la rigueur dont je m'efforce de faire preuve. Je suis quand même désagréablement surpris, pour ne pas dire consterné, qu'il n'y ait pas un seul message constructif parmi tous les commentaires postés sous cet article, ce qui n'était jamais arrivé au fil des 110 articles déjà publiés. J'en viens à me demander si je ne devrais finalement pas filtrer les commentaires comme cela se pratique sur nombre d'autres sites, mais ce qui est contraire à ma volonté de maintenir un espace d'échange convivial ouvert à priori, même si je pense que les internautes qui viennent sur ce site l'apprécient généralement et sont conscients de la qualité des articles qui se veulent approfondis et aussi exacts que possible dans la limite naturellement des connaissances accessibles. Vous noterez qu'à ce jour, rien n'a été censuré, même si je commence à douter du bien-fondé de cette conception libérale.
Je ne considère pas qu'il y ait eu véritablement d'erreurs ni d'omissions dans le corps de cet article. S'il a bien été effectivement modifié à la marge pour tenir compte de vos observations, la teneur n'en a pas été pour autant radicalement changée. J'ai ainsi simplement nuancé, par exemple, le rôle qu'aurait pu avoir Michel Chevalet, l'expert scientifique de la chaîne qui n'appréciait guère qu'on lui disputât le monopole des émissions scientifiques sur l'espace, ne pouvant, suite à l'interrogation que vous avez soulevée, assurer que son influence avait été le facteur déterminant de la disparition de l'émission, mais ne reniant pas pour autant mon hypothèse que j'estime probable au vu de l'enchaînement des évènements comme déjà évoqué, de manière à ce que le lecteur ne soit pas privé de mon analyse tout en le laissant libre de la conclusion à donner à cet événement.
Je répète qu'il n'a jamais été dans mes intentions d'entamer une guerre picrocholine avec vous sur le sujet des droits d'auteur, ce qui serait d'autant vain que vous dites ne pas disposer des droits de diffusion de vos reportages selon le statut de salarié de la chaîne qui était le vôtre, même si vous avez à ce qu'il semble fortement incité à ce qu'on retire d'internet vos reportages ; de la sorte, ce n'est donc pas vous qui êtes au premier chef concerné par la problématique, mais bien les ayant-droits. Je dois donc à nouveau redire que je ne suis pas contre les droits d'auteur, je pense qu'il faut respecter celui des créateurs et je veille toujours moi-même dans mes articles à mentionner ceux qui peuvent s'y rapporter, par exemple les illustrateurs dont les images sont présentées, et à rendre hommage à ceux qui disparaissent, ce dont beaucoup me sont gré, et j'ai ainsi tenu contrairement à ce qui a été écrit dans le commentaire initial à faire apparaître ici les noms comme les visages des principaux contributeurs de "Temps X", et me reprocher comme l'a fait son auteur de vouloir les omettre est un reproche particulièrement malvenu comme chacun peut le constater
Mon point de vue, quant au fond, que je souhaite ne pas voir déformer, est juste un souci de préservation des œuvres sur le long terme, et j'en ai, il est vrai, une large vision qui inclut aussi bien les œuvres elles-mêmes que tout ce qui s'y rattache, phase d'élaboration, dessins de production, scènes coupées, toute une documentation qui change parfois l'idée qu'on peut avoir de l'histoire du cinéma, comme je l'évoque à propos de La Chose d'un autre monde dans un ouvrage consacré au cinéma de l'imaginaire que je souhaite voir sortir prochainement. Ce qui n'est plus jamais diffusé peut se perdre à jamais. J'ai toujours regretté que les aléas de la programmation m'aient privé de votre sujet sur le film Dark Crystal, honnêtement, ne trouvez-vous pas dommage qu'il ne soit pas possible de le visionner ? Et pouvez-vous vraiment vous satisfaire que ce que vous avez conçu ne puisse plus jamais être apprécié ? TF1 a toute légitimité pour mettre à disposition ces programmes en les commercialisant, mais les laisser dormir sur une étagère poussiéreuse n'apporte rien à personne et vous prive de l'hommage que mériterait l'auteur (pour ce qui me concerne, dans la perspective du jour où je disparaîtrai, il me serait plaisant de savoir que des personnes intéressées, à défaut de plus proches, veillent à préserver les différentes créations que je laisserai alors, dont les blogs, de manière à en permettre toujours l'accès à ceux que cela intéresserait - et j'aimerais même pouvoir assurer la pérennité en ligne de ma collection de dizaines de milliers de photos de créatures étranges tant réelles qu'imaginaires).
Après, libre à vous de persister dans votre ton professoral et de vous solidariser avec les détracteurs qui viennent ici se défouler - notamment les deux individus très irrespectueux dissimulés derrière leur ordinateur (leur avatar ne mène à aucune information), et de vous piquer de croire que cet hommage au magazine est méprisable. Il serait selon moi plus intéressant que vous interveniez plus officiellement à l'occasion d'un entretien portant sur vos souvenirs de Temps X, voire faisant part de votre expertise sur les séries (dont les plus intéressantes ne furent pas achevées comme Invasion ou le projet de remake des Envahisseurs par Larry Cohen disparu trop prématurément, sur lesquelles vous avez peut-être des informations exclusives) - invitation qui vaut naturellement aussi pour les autres personnalités mentionnées dans cet articles, Jean-Yves Casgha et les artistes Pascal Pinteau et Jean-Manuel Costa et ce, en dépit des assertions perfides des deux malotrus, dans le cadre d'échanges qui se veulent menés dans un climat de considération mutuelle. Ce blog a été créé pour honorer la mémoire des contributeurs de l'imaginaire notamment en matière de créatures à commencer par Stan Winston, en souhaitant réunir autour de cet intérêt, si vous ne le voyez pas sous cet angle, c'est regrettable.
Bonjour.
- Il y avait des erreurs factuelles dans votre article initial. Mes commentaires vous ont permis de les rectifier. C’était le but. Preuve que mes commentaires étaient constructif.
Je vous avais incité à consulter en détail le livre de Jérôme, fruit d'un long travail et, lui, totalement factuel. Je suppose que, depuis, vous vous y reportez. Ayant participé au livre,je ne vois pas l’intérêt de répondre à une autre invitation ici même. Ca serait pour y dire la même chose.
- vous parlez maintenant d'une "analyse qui laisse libre de la conclusion". C'est très bien : chacun à le droit d'analyser, de supputer, d'imaginer, d'apporter des probables raisons. Sauf que votre texte se présente comme une suite d'affirmations et que , initialement, vous insistiez sur la rigueur de cet écrit. S'il y avait eut du conditionnel ou des "à mon avis", ça aurait été différent. Sans cela, le lecteur peut croire que ce que vous écriviez était exact et il me semble raisonnable de vous apporter de quoi confirmer vos dires. Rien de plus.
- Temps X est préservé, ne vous en faites pas. Les émissions sont à l'INA pour une période, et à TF1 International pour une autre. Il ne s'agit donc pas de cela mais d’accessibilité et ce n'est pas la même chose du tout. Les professionnels peuvent accéder à ces émissions et, éventuellement, en acheter des passages, comme j'ai pu le faire moi même pour des coffret BR ou des émissions, mais elle sont soumises aux droits liés aux extraits qui la composent.
- Non il n'y a aucun regret. Quand des journalistes ou des réalisateurs font des reportages d'actualité - ce qui était le cas ici- avec ds extraits d'un film par exemple, ils savent très bien que ce qu'ils font, les montages d'extraits, ne pourront pas être exploité au-delà de la période promotionnelle gratuite ou légale de l'achat des droits. Il faut d'ailleurs apprécier que on puisse bénéficier de cela. La conséquence est, par contre, que ça n'est pas pérenne.
- "vous avez à ce qu'il semble fortement incité à ce qu'on retire d'internet vos reportages." Non. Encore une fois non. Vous confondez "regretter qu'on publie illégalement une œuvre sans même en avertir les auteurs" et la faire interdire. Ce sont deux choses différentes. Il n'y a pas de "à ce qu'il semble" qui tienne.
- je ne veux pas entrer dans votre discussion / conflit avec quelconque détracteurs. C'est vous qui argumentez auprès d'eux et qui, ce faisant, m’interpellez. Moi, je ne prend aucun parti. D’où le fait que , pour la 3eme fois, je souhaite ne plus avoir à intervenir ici. Je vous souhaite bon courage dans vos démarches mais ne m'y incluez pas.
« Mais au nom des Bogues d’Hanoff, qu’est-ce qu’il fout, ce vieil idiot ? »
A qui s'adresse cette plaisanterie approximative ? Force est de constater que cet hommage pourtant équilibré attire plus les anonymes que les commentaires pertinents...
Heureusement qu'on ne se laisse pas décourager par la réception plus que douteuse que suscite cet hommage à une émission populaire en son temps. Des dizaines de nouveaux articles excitants attendent les lecteurs réguliers et intéressés dont on respecte l'intelligence en s'efforçant d'être aussi exhaustif que possible sur les sujets traités tout en veillant à demeurer accessible au néophyte, les autres, on ne les retient pas, s'ils estiment qu'il y a plus intéressants ailleurs. Que chacun trace son chemin et mette à disposition du public ses propres œuvres s'il pense avoir quelque chose de valable à proposer, ici on fait sa part...
Enregistrer un commentaire