Deux
acteurs qui s’étaient illustrés dans des films au côté de
créatures ont disparu récemment.
Décédé
le 15 juillet 2017 à l’âge de 89 ans Martin Landau, né dans le
quartier juif de New-York, avait débuté comme dessinateur pour le
Daily News, avant d’embrasser une carrière d’acteur menée à la
fois au cinéma, sous la direction de metteurs en scène renommés
comme Alfred Hitchcock, et sur le petit écran, dans Les
Incorruptibles, Colombo, Arabesque, Au-delà
du réel (The
Outer Limits), La
Quatrième dimension (The
Twilight Zone), Les
Mystères de l’Ouest ou
encore La
Cinquième dimension.
Martin Landau méconnaissable dans le rôle d'Andro, un mutant du futur dans l'épisode The Man who was never born de la série Au-delà du réel (The Outer Limits), qui espère échapper à cette triste condition grâce à un paradoxe spatio-temporel même si le titre laisse augurer d'assez peu d'espoir..
Le grand public se souvenait notamment de lui pour son rôle récurrent de Rollin Hand dans la série Mission impossible, dans la seconde moitié des années 1960, lequel était chargé de fournir des masques réalistes permettant aux agents secrets d’infiltrer des réseaux criminels au travers d’une identité usurpée. Il déclina la proposition d’incarner Mr Spock dans la série Star Trek, estimant qu’incarner un personnage dépourvu de sentiment n’était pas un rôle intéressant, laissant ainsi la place à Leonard Nimoy, qu’il avait côtoyé dans Mission impossible, et qui accéda ainsi à la notoriété. Prenant acte du succès de Star Trek, il saisit au milieu de la décennie suivante l’occasion de tourner dans une autre série de science-fiction, Cosmos 1999 (Space 1999), incarnant le rôle principal, celui du Commandant John Koenig dirigeant une station sur la Lune, laquelle se trouve subitement projetée dans l’espace, dérivant avec toute sa population lancée malgré elle vers des aventures dans l’espace profond, entrant en contact avec d’autres civilisations. Il y retrouvait sa partenaire de Mission impossible, Barbara Bain dans le rôle du médecin chef de la base, qui était son épouse. La série de Gerry Anderson connaîtra deux saisons très différentes, la première un peu austère, au rythme lent, aux intentions frôlant le métaphysique, avec Barry Morse dans le rôle de Victor, un scientifique d’allure retenue, puis la seconde reprise en main par Fred Freiderberg, beaucoup plus destinée au jeune public avec davantage d’action, et une extraterrestre humanoïde interprétée par Katherine Schell, capable de se changer en monstres d’apparence grotesque. Il endosse aussi le rôle du maudit Roderick Usher dans l'adaptation télévisée réalisée en 1979 par James L. Conway de La Chute de la Maison Usher d'Edgard Poe.
Au cinéma, Martin Landau avait tourné dans des petites productions de science-fiction au début des années 1950, telles que deux œuvres de Greydon Clark en 1980, le téléfilm The Return traitant d’enlèvement extraterrestre et Terreur extraterrestre (Without warning), ainsi que dans The Being de Jackie Kong en 1983 dépeignant les agissements d’un monstre qui n’est autre qu’un être humain que l’exposition dans sa prime jeunesse à la radioactivité a changé en cyclope effrayant et anthropophage. L’acteur portait un regard très sévère sur ces productions qu’il estimait indignes d’intérêt, déclarant qu’il n’avait accepté de figurer dans la distribution que pour des raisons alimentaires. Le jugement peut paraître un peu excessif, notamment dans le cas de Terreur extraterrestre, qu’on pourrait considérer comme un classique mineur. L’histoire de cet tueur venu sur Terre pour rapporter des trophées humains, devancier du Predator du film homonyme, qui utilise pour chasser les services d’une bien étrange fauconnerie, des parasites volants sous forme de disques à tentacules, créés par Joseph Quinlivan III et animés par Greg Cannom, ancien assistant de Rob Bottin, bénéficie d’une atmosphère de mystère et d’épouvante très bien rendue, et de la prestation très réussie de Jack Palance et Martin Landau qui composent deux personnages patibulaires et inquiétants; Martin Landau en particulier est remarquable lorsqu’il occupe seul l’écran durant quelques minutes, terrorisant l’auditoire en racontant, en tant qu’ancien vétéran du Vietnam, comment les extraterrestres, tel l’ennemi qu’il fut alors amené à combattre, vont plonger dans le noir le village en coupant l’électricité pour causer la panique, jusqu’à ce que les assiégés s’entre-déchirent.
Une raison pour laquelle Martin Landau ne garde peut-être pas un très bon souvenir de sa rencontre avec le précurseur du Predator (Kevin Peter Hall endossa d'ailleurs le costume des deux créatures) conformément à l'annonce réitérée dans la bande-annonce : "Rencontres d'un certain type à éviter".
De haut en bas : Le visiteur extraterrestre hostile s'apprêtant à lancer une de ses créatures chasseresses sur des proies humaines terrorisées; en dessous, Jack Palance dans le rôle de Joe Taylor est fier d'avoir capturé une créatures hématophages ; en bas, contrairement à Stan Winston qui reniait son travail sur la petite production d Charles Band, Parasite, Rick Baker est assez fier de sa création pour l'avoir publié sur son compte Twitter.
Au cours de cette longue carrière, on relèvera
aussi en matière de fantastique son interprétation à l’humanité
bouleversante de Gepetto dans l’adaptation de Pinocchio (The
Adventures of Pinocchio) réalisé en 1996 par Steve Barron, dans
laquelle il couve de son affection paternelle non assouvie le pantin
de bois animé grâce à un beau travail de marionnetterie. Martin
Landau a l’occasion d’interpréter à nouveau le personnage de
Gepetto dans une adaptation télévisée du conte de Collodi,
Pinocchio et Gepetto (The New Adventures of Pinocchio)
réalisée en 1999 par Michael Anderson. Durant les années 1990, il
apparaît aussi dans l’adaptation cinématographique de la série
conspirationniste Aux Frontières du réel,
réalisée par Rob Bowman en 1998,
X-Files the movie, et dans le conte d’épouvante de Tim Burton
en 1999, Sleepy Hollow, mais c’est grâce à un film
précédent de ce dernier qu’il reçut l’Oscar du meilleur second
rôle pour son interprétation pathétique et quelque peu poignante
de l’acteur Bela Lugosi, vieillissant et assez pitoyable, dans Ed
Wood qui rendait hommage en 1994 à celui qui est considéré
comme un des plus mauvais metteurs en scène de tous les temps et qui
avait tenté de donner quelque faste à sa passion du cinéma en
enrôlant une vedette oubliée. Martin Landau avait donné à l’écran
au travers de son rôle une nouvelle existence à l’acteur renommé
des années 1930, et on peut dire qu’à son tour, ce personnage a
contribué à sa postérité.
Il est sans doute plus facile de témoigner de l'affection à un pantin de bois animé qu'à une création virtuelle, comme dans la belle adaptation de Pinocchio de 1996.
Une transformation en monstre marin dans The new adventures of Pinocchio en 1999.
Martin Landau doit son Oscar à son interprétation de l'ancienne vedette Bela Lugosi, mise en scène par le réalisateur Ed Wood, incarné par Johnny Depp, dans le film que lui a consacré Tim Burton.
John Heard, disparu à l’âge de 71 ans le 21
juillet 2017, avait lui aussi mené une carrière prolifique tant sur
le petit que le grand écran. Le grand public le connaissait
notamment pour son rôle de père de famille Peter McCallister dans
la comédie Maman, j’ai raté l’avion (Home alone)
et la suite Maman, j’ai encore raté l’avion (Home
alone 2 : Lost in New-York), mais il est aussi apparu dans des
oeuvres évoquant le péril écologique, avec le téléfilm Dead
ahead : The Exxon Valdez Disaster en 1992 et le film L’Affaire
Pélican (The Pelican Brief) en 1993. La bonhomie qu’il
inspirait assez naturellement à l’écran contrastait étrangement
avec la dureté du personnage du chef du Ku Klux Klan qu’il
interprète dans la mini-série télévisée Cross of Fire en
1989. Il avait figuré en haut de l’affiche de deux films avec des
créatures monstrueuses au début des années 1980, conférant à ses
personnages au travers de son jeu sobre une grande crédibilité.
Dans le remake de La Féline (Cat people) réalisé en
1982 par Paul Schrader, il incarne Oliver Yates, le directeur du parc
zoologique qui s’éprend d’Irena Gallier, la jeune femme
interprétée par Natassia Kinski, victime d’une malédiction
ancestrale la destinant à se métamorphoser en panthère lorsqu’elle
pratique l’acte charnel, se trouvant partagé entre son penchant
pour elle et la crainte que suscite sa compréhension de sa
terrifiante nature. Les effets spéciaux impressionnants contribuent
aussi à la réussite du film, même s’ils ont été beaucoup
édulcorés, notamment la transformation principale d’Iréna, comme
c’est malheureusement souvent le cas – on avait évoqué dans
l’hommage au maquilleur Dick Smith la désillusion qu’il avait
éprouvée lorsque la majeure partie de ses effets d’Au-delà du
réel (Altered states) avaient été coupés ou occultés
par des retouches. Dans C.H.U.D. de Douglas Cheek, en 1984,
John Heard incarne au côté de Daniel Stern (le méchant principal des deux comédies évoquées au début de ce paragraphe, mais les acteurs n'y ont pas de scènes communes) le rôle de George Cooper qui mène des
investigations le conduisant à découvrir dans les recoins les plus
cachés du métro une population de sans-abris devenus d’effroyables
mutants anthropophages. Son interprétation convaincante, la mise en
scène soignée et les créatures conçues par le maquilleur John
Caglione qui suscitent la révulsion, permettent à C.H.U.D.
de s’élever au-dessus du standard ordinaire du film de série B. À
la télévision, John Heard avait figuré en 1995 dans un épisode de
la nouvelle série Au-delà du réel, l’Aventure continue
(The new outer limits) Dark matters, à l’atmosphère
étouffante, dans lequel l’équipage d’un vaisseau spatial
prisonnier d’un trou noir est confronté aux fantômes
d’extraterrestres, ainsi en 2006 que d’un épisode de la nouvelle
mouture de Battlestar Galactica.
John Heard incarne dans le remake de La Féline (Cat people) se demande quel est le secret que veut enfouir Iréna Gallier (Natassia Kinski) dont il s'est épris, lequel sera révélé au travers des effrayants effets spéciaux de Tom Burman.
Les effrayants mutants de C.H.U.D. soumettent à rude épreuve les nerfs des protagonistes, et John Heard a fort à faire pour rassurer sa partenaire (Kim Greist, moins assurée que dans Brazil).
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Le réalisateur George Romero, disparu le 16
juillet 2017, a consacré sa carrière à mettre en scène des
créatures maléfiques, même si on ne peut pas à proprement parler
les qualifier de monstres, les morts-vivants. La figure n’était
certes pas inédite au cinéma, avec les envoûtements de The
White Zombie puis de L’invasion des morts vivants (A
plague of the zombies) dans lesquels la technique apprise du
vaudou permet de disposer d’une main d’œuvre corvéable à merci
– Romero dira s’être notamment inspiré du second. Néanmoins, dans ces
deux films, conformément au folklore haïtien, les morts-vivants ne
sont principalement que de pauvres créatures dont toute volonté a
été subtilisée par leur maître. Le réalisateur indépendant, qui
tournera ses films dans sa ville de Pittsburgh à l’écart du
système hollywoodien, n’en retient que l’idée de horde de
morts-vivants à la déambulation claudicante, ayant perdu toute
humanité mais mus par une force sauvage tournée entièrement vers
l’anthropophagie, comme si seule la consommation de la chair de
congénères vivants était susceptible de prolonger leur semblant de
vie. La Nuit des mort-vivants (The Night of the living
dead), tourné en 1968 en noir et blanc, frappe le spectateur par
sa dureté, sa peinture sans concession – passé le prologue un peu
loufoque – d’un monde qui n’est plus que violence, avec des
survivants assiégés par des masses affamées de morts-vivants que
la terreur pousse à s’entre-tuer, jusqu’au paroxysme, avec la
fillette contaminée qui tue sa mère et dévore ses parents, tel un
documentaire brut, sans dramatisation étudiée, sans emphase
musicale, qui ne propose aucune distanciation au spectateur, et qui
s’apparente moins à un spectacle qu’à un témoignage sans fard
d’une horreur sans limites. L’ultime survivant est abattu par une
milice qui le prend pour un zombie. Le second volet tourné en
couleur en 1978, Zombie (Dawn of the dead), est fort
différent, avec son rythme plus lent, semblant étiré presque à
l’excès, dans lesquels quelques survivants se sont établis dans
un supermarché délaissé, avant de devoir faire face à un gang de
voyous (dont le chef est interprété par le maquilleur Tom Savini,
traumatisé par son expérience de photographe au Vietnam, qui dit
être contraint de réaliser de l’horreur sanguinolente factice
pour exorciser celle insoutenable dont il fut le témoin – et qui
joue aussi dans Une nuit en enfer de Tarantino, autre film
d’ailleurs à l’intérêt discutable), puis au déferlement des
morts vivants avides, satire implicite de la déambulation des
consommateurs dans une grande surface, préambule à un déferlement
d’images sanglantes. N’en subsiste principalement que
l’inquiétante découverte dans les sous-sols d’un immeuble de
populations précarisées décaties festoyant de restes humains, le
court moment un peu glaçant dans lequel un des protagonistes mordu
commence à sentir sa température baisser et supplie qu’on le tue
avant de devenir à son tour un mort-vivant, et le slogan assez
marquant de l’affiche : « Quand il n’y a plus de place en
Enfer, les morts reviennent sur Terre ». Le dernier volet de la
trilogie, Le jour des morts-vivants (The Day of the dead)
en 1985, est encore d’un style un peu différent, dépeignant de
manière assez prenante les dissensions qui opposent militaires et
scientifiques travaillant à apprivoiser un mort-vivant dans une base
souterraine, jusqu’à ce qu’un illuminé, dans un moment de
délire mystique, ouvre la trappe permettant à la foule qui les
assiège de s’engouffrer dans le réduit et d’y faire un carnage.
Seuls quelques survivants parviennent à s’enfuir en hélicoptère,
trouvant un nouveau refuge dans une île tropicale, sur fond d’une
musique traduisant l’atmosphère détendue de ce havre paradisiaque
dans un épilogue qui tranche étrangement avec le ton du reste de
l’œuvre, comment une touche humoristique qui renverait à celle de
l’ouverture du premier film. George Romero a aussi réalisé
Creepshow en 1982, un film à sketchs basé sur des histoires
de Stephen King qui incarne lui-même un des protagonistes, mais la
plupart de ses films d’épouvante, comme Incidents de parcours
(Monkey shines) en 1988 sur un singe capucin meurtrier, et La
Part des ténèbres (The dark half) en 1992, cependant
généralement prisé des critiques, n’auront pas la même
notoriété que sa trilogie, tandis que les zombies, notamment dans
le cinéma italien, vont se banaliser. Alors que l’horreur sans
fard des morts-vivants redevient actuellement un véritable phénomène
au travers de la série Walking Dead, avec ses maquillages
très crus conçus par KNB, laquelle suscite un véritable engouement
et se situe clairement dans l’héritage des films de Romero, il y’a
comme une cruelle ironie à voir le public focaliser toute son
attention sur ces morts-vivants, à une époque dans laquelle les
informations télévisées sont de plus en plus souvent amenées à
rendre compte des actions d’individus dont le cerveau paraît ne
plus être rempli que de la rage de tuer ou mutiler indistinctement
hommes, femmes, enfants, vieillards, et nous ne saurons pas si cette
triste vague aurait inspiré au réalisateur quelque nouvelle œuvre.
Bill Hinzman dans le rôle du mort-vivant par lequel la terreur débute dans La Nuit des morts-vivants (Night of the living dead); l'acteur apparaîtra de nouveau en mort-vivant en 1988 dans son propre film The Flesh Eater.
La terreur se déchaîne dans La nuit des morts-vivants, causant dissensions mortelles parmi le petit groupe de réfugié et destruction effroyable de la famille.
George Romero sur le tournage de Zombie (Dawn of the Dead)
Les survivants en sursis de Zombie.
Le chef des voyous, incarné par le maquilleur Tom Savini, maquilleur traumatisé par la Guerre du Vietnam qui exorcisait son traumatisme en confectionnant de l'horreur factice pour oublie la vraie, qui a été le créateur d'effets spéciaux attitré de George Romero. Il incarne un rôle similaire dans Une nuit en enfer de Quentin Tarantino. Il 1990, il a réalisé un remake de La nuit des morts-vivants.
Leslie Nieslen - vedette à laquelle on a rendu hommage lors de sa disparition - passe dans Creepshow un bon moment non partagé avec Ted Danson (futur interprète principal de Loch Ness et de la première adaptation quasi-intégrale des Voyages de Gulliver d'après Jonathan Swift).
E.G. Marshall qui apparaît aussi dans Creepshow ne devrait pas trouver trop à son goût l'article consacré à nos petites bêtes (https://creatures-imagination.blogspot.fr/2016/02/vous-finirez-par-les-regretter.html)
Le monstre de Creepshow avec le maquilleur Tom Savini (en haut) et le réalisateur George Romero.
Après la Nuit des morts vivants, l'aube ( traduction de Dawn of the Dead), ne tarde pas à se lever pour laisser la place au Jour des morts-vivants, qui ont totalement pris possession des Etats-Unis.
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Après plusieurs tentatives de nouvelle mouture, un
film inspiré de The Dark Crystal devrait à nouveau être
initié, relatant le combat de Gelflings contre les Skeksès. La mise
en scène devrait être confiée à Louis Leterrier, un protégé de Luc
Besson, qui confie qu’il sera intéressant de pouvoir utiliser
toutes les techniques d’effets spéciaux disponibles pour
concrétiser une seconde fois l’univers porté à l’écran par
Jim Henson. Si l’on songe à sa version de Hulk, et à son
personnage totalement en image de synthèse (même si celui-ci
provient de la bande dessinée), on peut avouer qu’on attend sans
impatience cette version, alors que c’est justement
l’émerveillement suscité par la vision d’un monde basé
entièrement sur l’animation de marionnettes réalistes qui
constituait tout l’intérêt de The Dark Crystal – et
probablement à jamais sa singularité...
Dessins conceptuels d'une précédente tentative abandonnée de réintroduire l'univers de The Dark Crystal, The Power of the Crystal, avec en haut une forêt pétrifiée et en bas un champ de lave gelé qui semble receler le corps de créatures figées, un projet qui devait déjà mêler les techniques d'effets spéciaux avérées à l'imagerie créée par ordinateur.
PS : Le lecteur régulier aura peut-être noté la raréfaction des articles, imputable aux activités connexes de l'auteur qu'on aura probablement l'occasion d'évoquer ultérieurement.
Dessins conceptuels d'une précédente tentative abandonnée de réintroduire l'univers de The Dark Crystal, The Power of the Crystal, avec en haut une forêt pétrifiée et en bas un champ de lave gelé qui semble receler le corps de créatures figées, un projet qui devait déjà mêler les techniques d'effets spéciaux avérées à l'imagerie créée par ordinateur.
PS : Le lecteur régulier aura peut-être noté la raréfaction des articles, imputable aux activités connexes de l'auteur qu'on aura probablement l'occasion d'évoquer ultérieurement.
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