Certains héritiers de Ray HARRYHAUSEN, le grand nom de
l’animation image par image, se sont résolus à se mettre au
service des images de synthèse comme Randall William COOK, scannant
parfois leurs modèles avant de les animer par infographie comme Phil
TIPPETT. Steve ARCHER, décédé le 15 juillet en Australie au côté
de sa femme Barbara dans sa maison située à proximité de la mer,
et inhumé à Fremantle le 23 juillet 2015, semblait quant à lui
souhaiter demeurer fidèle au procédé d’animation de son mentor.
L’animateur avait déjà connu de graves problèmes de santé il
y’a une dizaine d’années, l’amenant alors à entrevoir une
possible issue fatale.
Grand admirateur de Ray HARRYHAUSEN, notamment de
son film JASON ET LES ARGONAUTES (JASON AND THE ARGONAUTS), ainsi que de KING KONG, Steve
ARCHER, né le 1er août 1957, avait réalisé plusieurs courts-métrages d’animation lui
rendant hommage, certains remarqués dans des magazines consacrés
aux films d’amateurs. Sur les conseils de son ami Steve PICKARD, il contacta un spécialiste des peintures
sur verre (matte paintings) pour le cinéma travaillant pour les studios
Pinewood, Cliff CULLEY, qui lui offrit durant trois mois sa première expérience
professionnelle dans le domaine des effets spéciaux, le prenant
notamment comme assistant sur la comédie de 1976 QUAND LA PANTHÈRE ROSE
S’EMMÊLE (THE PINK PANTHER STIKES AGAIN), film sur lequel il apporta son
aide notamment pour la mise en forme du générique et peignit deux cents
images sur lesquelles il fit disparaître le siège des Nations unies
(O.N.U.).
Alors qu'il travaillait comme projectionniste, il apprit au début de l’année 1979 que son modèle, que Steve PICKARD lui avait permis de rencontrer sur SINBAD ET L’ŒIL DU TIGRE (SINBAD AND THE EYE OF THE TIGER), cherchait un assistant pour son dernier film. Après un appel chez Ray, ce dernier lui rendit visite à son domicile londonien à Barnes et, impressionné par son travail, le convia au studio Pinewood pour un test d’animation avec les figurines de SINBAD ET L’ŒIL DU TIGRE (SINBAD AND THE EYE OF THE TIGER). Celui-ci ne fut pas très concluant en raison de la nervosité du jeune homme mais Ray eut assez d’intelligence et de compréhension pour lui donner une seconde chance; le résultat fut bien meilleur et c’est finalement lui qui fut choisi parmi d’autres postulants. Une année plus tard, il rencontra le producteur attitré de Ray HARRYHAUSEN et fut engagé officiellement sur LE CHOC DES TITANS (CLASH OF THE TITANS) de Desmond DAVIES (1981). Ray HARRYHAUSEN lui demanda dans un premier temps d’étudier la décomposition des mouvements d’humains et d’animaux filmés par le cameraman Eadweard MUYBRIDGE.
Steve ARCHER en 1976 sur un court métrage.
Alors qu'il travaillait comme projectionniste, il apprit au début de l’année 1979 que son modèle, que Steve PICKARD lui avait permis de rencontrer sur SINBAD ET L’ŒIL DU TIGRE (SINBAD AND THE EYE OF THE TIGER), cherchait un assistant pour son dernier film. Après un appel chez Ray, ce dernier lui rendit visite à son domicile londonien à Barnes et, impressionné par son travail, le convia au studio Pinewood pour un test d’animation avec les figurines de SINBAD ET L’ŒIL DU TIGRE (SINBAD AND THE EYE OF THE TIGER). Celui-ci ne fut pas très concluant en raison de la nervosité du jeune homme mais Ray eut assez d’intelligence et de compréhension pour lui donner une seconde chance; le résultat fut bien meilleur et c’est finalement lui qui fut choisi parmi d’autres postulants. Une année plus tard, il rencontra le producteur attitré de Ray HARRYHAUSEN et fut engagé officiellement sur LE CHOC DES TITANS (CLASH OF THE TITANS) de Desmond DAVIES (1981). Ray HARRYHAUSEN lui demanda dans un premier temps d’étudier la décomposition des mouvements d’humains et d’animaux filmés par le cameraman Eadweard MUYBRIDGE.
Steve ARCHER feuilletant un ouvrage consacré à Ray HARRYHAUSEN, "Ray Harryhausen's fantasy scrapbook", en compagnie de son ami Steve PICKARD qui l'a mis en contact avec le célèbre animateur, ainsi qu'avec la veuve de Willis O'BRIEN.
Sur LE CHOC DES TITANS, Steve ARCHER eut d’abord la mission d’animer le
vautour géant utilisé par le personnage maléfique de Calibos,
ainsi que Bubo, le petit hibou mécanique cadeau d’Athéna, deux
modèles suspendus par des fils sur un écran bleu, que le jeune
animateur devait déplacer en gravissant une échelle pour chaque
fraction de mouvement filmée, activité très physique que Ray
HARRYHAUSEN avait souhaité déléguer. Steve ARCHER parvint à
conférer une véritable personnalité à la petite figure
métallique. A l’exception notable de la séquence des scorpions que
Ray avait déjà filmés avant que le travail de Steve débute et de la scène de la Gorgone qu'il s'était réservée, ce
dernier fut appelé à apporter sa contribution à l’animation de la plupart des différentes créatures du film, parmi lesquels le personnage démoniaque de Calibos.
Steve ARCHER et Ray HARRYHAUSEN se concertant au sujet de Bubo, le hibou mécanique.
Bubo, le contre-point comique de l'épopée du CHOC DES TITANS.
Bubo, le contre-point comique de l'épopée du CHOC DES TITANS.
Ray prodiguant à son jeune protégé ses conseils pour animer le chien à deux têtes gardien des Enfers et de la demeure de la Gorgone Méduse, Dioskilos; l'essentiel de la séquence est cependant à porter au crédit de Jim DANFORTH, Steve ARCHER s'étant cassé un doigt alors qu'il avait commencé à animer le monstre (pourvu de deux têtes au lieu des trois du Cerbère de la mythologie pour des raisons d'économie, lesquelles avaient déjà coûté deux tentacules à la pieuvre géante de IT CAME FROM BENEATH THE SEE).
Calibos, comme la Gorgone, a été puni par les Dieux de l'Olympe et été changé en être monstrueux à la démarche sinueuse et à la queue reptilienne (en haut); c'est Steve ARCHER qui a été chargé de lui donner son allure retorse, tandis que l'acteur Neil McCARTHY était employé pour les plans plus rapprochés. L'animateur a aussi été responsable du vautour géant qui le sert, rapportant chaque nuit en son antre le "double astral" de la Princesse Andromède.
Steve ARCHER au travail sur un plan avec le monstrueux Kraken, miniature qui devient titanesque à l'écran.
En 1981, quelque temps après avoir repris son travail en tant que projectionniste, il entra en contact avec le spécialiste des effets spéciaux des James Bond, Derek MEDDINGS, pour un autre grand film fantastique épique. A défaut des autres monstres qu'il avait été prévu d'animer lorsque le projet s'appelait encore "Les dragons de Krull" avant que ne sorte un autre film mettait en vedette un dragon, LE DRAGON DU LAC DE FEU (DRAGONSLAYER), il est engagé pour donner vie à une araignée translucide géante dans KRULL (1983) de Peter YATES. Steve ARCHER a pris le soin d'étudier préalablement des documentaires sur des araignées. Le résultat est brillant, l'Araignée de cristal paraissant très crédible, et la séquence, à la fois terrifiante et empreinte de grâce et de féérie, est incontestablement une des plus mémorables du film. Il anima également un certain nombre d'armes qui apparaissent dans le film, et plus particulièrement le glaive magique commandé par le héros, le Prince Colwyn (Ken MARSHALL), virevoltant avec une élégance mortelle.
Steve ARCHER au travail sur l'Araignée de cristal de KRULL faite de plexiglas, d'une envergure de 90 centimètres (trente pour le corps et trente pour une patte).
Une troisième grande production, L’HISTOIRE SANS FIN
(THE NEVERENDING STORY) de Wolfgang PETERSEN en 1984, donna à nouveau l'occasion à Steve ARCHER de démontrer son grand talent, bien que plus fugitivement, notamment en raison de l'abandon de la séquence qui devait initialement faire intervenir les Géants du vent ainsi que du combat décrit dans le roman original de Michaël ENDE qui devait mettre aux prises Falkor, le dragon porte-bonheur, avec Ygramul, une araignée géante composée d'une multitude de petites entités. Steve ARCHER se chargea des quelques plans dans lesquels Falkor est vu en train de voler à travers les cieux, du sauvetage d'Atreyu pris dans les marécages de la tristesse qui ont englouti son cheval Artax alors que le loup Gmork s'était élancé pour le dévorer, et de l'arrivée à la Tour d'Ivoire qui abrite le Palais de l'Impératrice. Même si ces plans sont fort brefs, ils confèrent une vraie réalité à cette créature fantastique, qui se meut avec beaucoup de souplesse et même d'élégance au milieu des nuages, et dont même la fourrure ondule avec beaucoup de naturel.
Steve ARCHER devant le modèle du dragon Falkor, monté sur un dispositif permettant de créer un léger flou en faisant bouger le modèle, lequel se déplace en même temps que la caméra, afin d'accroître le réalisme d'un mouvement filmé image par image, une photo rare de tournage prise par Peter TYLER chargé de filmer la séquence.
L'armature métallique du dragon, et la figurine de 30 centimètres terminée, en bas.
Étant entré en contact avec Darlyne O'BRIEN, la seconde épouse du premier grand promoteur de l'animation image par image, par le truchement de son ami Steve PICKARD, Steve ARCHER tenta en 1986 avec son accord de monter THE LAST OF THE OSO SI-PAPU, un des nombreux projets non aboutis de Willis O'BRIEN. Le film, inspiré d'une nouvelle parue dans un magazine de l'Arizona, devait confronter des cow-boys à une ou plusieurs créatures légendaires monstrueuses, une sorte d'ours gigantesque à la peau reptilienne évoquant celle d'un monstre de gila (même si le créateur avait aussi songé un temps à lui conférer une apparence plus notablement reptilienne qui préfigurait celui du monstre éponyme du futur film britannique GORGO), qui devait s'attaquer à une équipe venue tourner un western et s'en prendre à un téléphérique. Steve ARCHER réalisa une nouvelle armature pour la créature sur le modèle de celle qu'avait confectionnée de Willis O'BRIEN. Mais ni un premier scénario écrit par Steve STERLING, ni une seconde version due à Dedry BALDWIN, ne parvinrent à susciter l'intérêt de producteurs.
Dessin de préproduction pour le projet de Willis O'BRIEN, THE LAST OF OSO SI-PAPU mettant en vedette, bien avant PROPHECY, un ours monstrueux inspiré des légendes indiennes, que Steve ARCHER aurait souhaité porter à l'écran, d'abord en 1986 sous le titre THE DIETY en le situant dans les années 1940, puis en l'actualisant sous le titre de CREATOR en 1991 avec l'histoire se déroulant à notre époque.
En 1988, Steve ARCHER devait animer les tentacules métalliques du Docteur Octopus, l'adversaire du super-héros dans le film SPIDERMAN que pensaient produire Menahem GOLAN et Yoram GLOBUS pour leur société CANNON, mais le projet sombra au fil des réécritures et des dépenses pour la préproduction qui atteignirent 10 millions de dollars.
Pour LES AVENTURES DU BARON DE MUNCHAUSEN (THE ADVENTURES OF BARON MUNCHAUSEN) de Terry GILLIAM en 1989, son rôle se limita à animer une version miniature du baron qui, lors de son combat contre les Turcs, saute d'un boulet de canon à l'autre. Il déclina en effet la proposition d'animer image par image l'allégorie de la Mort, estimant que la mise en mouvement des bribes de vêtement agitées par le vent de ce personnage ne se prêtait pas à la technique d'animation par image.
La façon bien fantasque par laquelle le Baron de Münchausen combat l'armée turque, une courte mais très réussie séquence de Steve ARCHER.
Le démon géant de LA FISSURE 2 (THE GATE 2).
Cependant, les temps sont devenus difficiles pour l'animation image par image, laquelle, après avoir été concurrencée par des effets spéciaux mécaniques très performants, sont purement et simplement éradiqués par les images créées par ordinateur au début des années 1990. Comme son collègue David ALLEN, Steve ARCHER dut se tourner vers
les spots publicitaires pour continuer à créer des séquences
animées selon les méthodes traditionnelles, et il est fut aussi chargé de courtes séquences pour la série satirique SPITTING IMAGE (émission qui fut le modèle des GUIGNOLS de la chaîne française Canal +), ce qui ne le mit pas à l'abri de périodes de chômage.
Informé par le neveu de Darlyne que tous les projets de films de Willis
O’BRIEN lui ont été légués par sa veuve qu'il visitait régulièrement,
Steve ARCHER, à défaut d'être parvenu à intéresser des producteurs, consacra un livre au
principal créateur de l’animation image par image
en 1993, «Willis O‘BRIEN special effects genius», faisant la part
belle aux scripts des projets non réalisés, incluant notamment ceux
orientés vers le western qu’il affectionnait également - comme on s'est aussi attaché à le faire pour ces pages dans l’hommage à Ray
HARRYHAUSEN. Il a aussi écrit une étude sur un autre film jamais tourné,
une transcription sur grand écran de la vie de Guillaume TELL avec
Errol FLYNN dans le rôle principal.
L'édition originale du livre de Steve ARCHER, recensant notamment les projets inaboutis du créateur des effets spéciaux du MONDE PERDU (THE LOST WORLD) tiré du
roman de Conan DOYLE et du KING KONG, et mentor de Ray HARRYHAUSEN.
La passion de Steve ARCHER pour l'animation
traditionnelle n'avait pas été émoussée par les difficultés, il
aspirait à créer des films d'animation basés sur les contes de fée
et à adapter la nouvelle LE CŒUR RÉVÉLATEUR (THE TELL-TALE HEART)
d'Edgar A. POE.
On ne peut que déplorer que, non seulement,
l'existence de Steve fut écourtée par sa santé défaillante, mais
aussi que la carrière d'un aussi brillant animateur qui savait
donner vue aux créatures les plus diverses fut aussi brève en
raison de la concurrence redoutable bien que discutable des trucages
créés par ordinateur, le conduisant à demeurer "en état
d'"animation suspendue" pour reprendre sa propre expression
ironique. Loin de cet Hollywood moderne oublieux, il convenait ici de
célébrer sa mémoire.
---------------
Un interprète qui prenait ses rôles à bras le corps.
On a appris la disparition à 61 ans le 31 juillet 2015 du catcheur canadien Roddy PIPER, qui avait tourné dans un certain nombre de films. Il est sans doute plus connu à ce titre en tant que héros du film INVASION LOS ANGELES (THEY LIVE) de John CARPENTER (1988), film mémorable pour son combat avec Keith DAVID (THE THING, ROBERT HEINLEIN's PUPPET MASTERS) durant dix minutes au cours desquelles il tente de convaincre son compagnon de misère de mettre sur son nez des lunettes de soleil qui lui révèlent, en annihilant les influx hypnotiques omniprésents, que la ville est investie par des envahisseurs extraterrestres à l'allure de goules décaties, venues piller la planète. A l'époque de la sortie, le pamphlet à l'encontre des Républicains pouvait paraître excessif, en les dépeignant comme des monstres assoiffés d'argent, mais depuis, les études révélant que la pauvreté s'était beaucoup accrue sous les mesures économiques de la présidence de Ronald REAGAN, la vidéo montrant George BUSH Sr. assurant d'avance l'aval de l'administration aux producteurs d'aliments d'origine transgénique pour la commercialisation ainsi que l'impunité en cas de problèmes sanitaires que leurs produits pourraient causer, la guerre en Irak déclenchée par George BUSH Jr. sous un faux prétexte probablement pour s'assurer l'approvisionnement en pétrole, telle que préfigurée métaphoriquement par Frank HERBERT dans son roman DUNE, ou encore les mensonges frénétiques de la plupart des Républicains pour nier le réchauffement climatique afin de protéger les intérêts des industriels, confèrent aujourd'hui une pertinence certaine à la charge virulente du cinéaste. Roddy PIPER, qui avait connu la précarité, partant de chez son père alors qu'il était encore un très jeune adolescent à la suite d'une dispute, incarna à la perfection, tout comme Kurt RUSSELL dans NEW-YORK 1997 (ESCAPE FROM NEW-YORK), THE THING et LES AVENTURES DE JACK BURTON (BIG TOUBLE IN LITTLE CHINA) ou Daniel BALDWIN (VAMPIRES), l'Américain moyen devenant héros malgré lui, avec sa fameuse réplique désabusée : "J'étais venu ici pour mâcher du chewing gum et botter quelques culs, et comme je n'ai plus de chewing gum..!"
Difficile de croire à la réalité une fois qu'on a chaussé les lunettes anti-hypnotiques..
Le réalisateur John CARPENTER et le maquilleur Frank CARRISOSA sur la préparation d'une scène laissant entrevoir un des "vampires capitalistes" sous sa vraie apparence..
La même année, Roddy PIPER était aussi à l'affiche de TRANSMUTATIONS (HELL COMES TO FROGTOWN) de Donald G. JACKSON et R.J. KIZER aux côtés de Sandhal BERGMAN, dans un univers futuriste peuplés de mutants aux allures de grenouilles. Si le film est peu prisé des cinéphiles, les maquillages spéciaux de Steve WANG sont de qualité.
Avec les résidents mal embouchés de HELL TO FROGTOWN, difficile de leur faire la prise dite des deux doigts dans les yeux, à moins d'avoir vraiment une très grande main...
Roddy PIPER était apparu dans des petites productions de science-fiction, comme SCI-FIGHTERS de Peter SVATEK (1996) et ALIEN OPPONENT de Colin THEYS (2010), ainsi que dans un épisode d'AU-DELA DU RÉEL, L'AVENTURE CONTINUE (THE NEW OUTER LIMITS), ECLAIRS DE GENIE (SMALL FRIENDS).
Tout récemment, Roddy PIPER fut la vedette de PORTALL TO HELL, un film du réalisateur de comédies canadiennes Vivienno CADINELLI, financé à travers le site participatif Indiegogo, inspiré de l'univers de LOVECRAFT; on le voit sur cette photo partager la vedette avec un autre acteur qui ne semble que modérément humanoïde.. Pourquoi prendre "l'autoroute pour l'enfer" quand il suffit de pousser un portail..!?
On ne sait que trop comment depuis l'origine, l'humanité traite les autres formes de vie qui peuplent la planète. Un site sponsorise un certain nombre de causes : soutien aux refuges pour animaux familiers maltraités, lutte contre le réchauffement climatique, protection de l'océan et des forêts tropicales, sauvegarde des loups, bébés phoques, primates et félins. Il suffit d'un "click" par jour sur chacun de ces liens pour que le sponsor abonde les comptes affectés à ces causes, ainsi, même ceux qui n'ont pas de ressources peuvent grâce à ce site contribuer à ce que les autres espèces soient un peu moins maltraitées. Ne vous privez pas de mettre le lien dans vos favoris. Accorder quelques instants quotidiens à ces causes est un bien petit effort, mais pour ces animaux, ça fera une différence : un petit geste pour vous, un grand geste pour les êtres sensibles sans parole.. :
http://theanimalrescuesite.greatergood.com/clicktogive/ars/home
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SI VOUS AIMEZ VRAIMENT TOUTES LES CRÉATURES...
On ne sait que trop comment depuis l'origine, l'humanité traite les autres formes de vie qui peuplent la planète. Un site sponsorise un certain nombre de causes : soutien aux refuges pour animaux familiers maltraités, lutte contre le réchauffement climatique, protection de l'océan et des forêts tropicales, sauvegarde des loups, bébés phoques, primates et félins. Il suffit d'un "click" par jour sur chacun de ces liens pour que le sponsor abonde les comptes affectés à ces causes, ainsi, même ceux qui n'ont pas de ressources peuvent grâce à ce site contribuer à ce que les autres espèces soient un peu moins maltraitées. Ne vous privez pas de mettre le lien dans vos favoris. Accorder quelques instants quotidiens à ces causes est un bien petit effort, mais pour ces animaux, ça fera une différence : un petit geste pour vous, un grand geste pour les êtres sensibles sans parole.. :
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Merci pour eux... Ceux qu'on oublie, qu'on abandonne..
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